Juliet Stoneham
Nombre de messages : 24 Age : 33 Nationalité : British. Crazy for : Pop-corn. AmstelMood : Pensive. Date d'inscription : 09/03/2008
MacBook Job: Assistante au Dam. To-Do List:
| Sujet: Juliet Stoneham | Candy doll Dim 9 Mar - 15:41 | |
| TO THEIR CREATOR - BOMBOTTOSA @ LJ • IDENTITE
• Nom : Stoneham. • Prénoms : Juliet Noah. • Surnoms : En toute sincérité, Juliet a toujours une aversion profonde des surnoms, qu'elle trouve soit trop mielleux, soit trop ironiques. Elle aime qu'on s'en tienne à son prénom, tout simplement et en évitant de l'écorcher. Cependant, il en est un qui la suit depuis son adolescence et qu'elle a fini par accepter. Ses proches la surnomment Stone, un diminutif probable de son nom de famille qui sonne plutôt bien selon elle. • Âge : La jeune Stoneham traîne derrière elle vingt-cinq belles et longues années. • Date de naissance : Une après-midi ensoleillée, premier du mois de mars. • Lieu de naissance : Dans une clinique privée de la capitale britanique, Londres. • Nationalité : Juliet Stoneham est une authentique britanique de pure souche. • Occupation : Grâce à ses connaissances profondes en Droit et en matière de justice, Juliet a rapidement réussi à obtenir assurance et crédibilité. Bien qu'encore jeune, elle occupe le poste très coinvoité d'assistance au Dam, auprès de l'ambassadeur national. Si ses fonctions ne résultent pas d'efforts intenses ou de maîtrise politique, ses conseils et ses nombreux voyages à l'étranger ont fait d'elle un atout majeur pour l'ambassadeur.
• SCOLARITE
• Note à l'examen d'entrée : Voilà quelques années maintenant, mais Juliet se souvient s'être qualifiée avec un honnorable 89. Elle n'en était pas peu fière, mais cette note était cependant le fruit de nombreuses heures de travail. • Note à l'examen final : La jeune femme est sortie de l'ISP avec un beau 84 en poche. Une note plus basse que celle d'entrée, mais qui n'en reste pas moins un très bon score, lorsque l'on connaît le niveau de l'institut. • Langues : Elle suivait les cours de Néerlandais, d'Espagnol ainsi que de Français. • Options : Sans hésitation, Juliet avait opté pour le Latin et la littérature française. • Sport : Le choix fut difficile, mais elle opta pour le tennis qu'elle affectionnait assez.
• BIOGRAPHIE
• Ascendance sociale : • Anecdotes de l'enfance : • Anecdotes de ladolescence : • Anecdotes à l'ISP : • Cinq années :
• PSYCHOLOGIE
TRAITS DE CARACTERE
MANIES
• ADDRESS BOOK
FABRIZIO COMINOTTI (Ashton Kutcher)
S’il y avait bien une rencontre qu’ISP redoutait, c’était celle de Juliet Stoneham et Fabrizio Cominotti. Elle était issue d’une famille d’aristocrates britanniques, et n’avait qu’à claquer des doigts pour qu’on exauce ses souhaits. Il avait la réputation du dragueur par excellence à l’ISP, dont les conquêtes dépassaient presque la liste des étudiants de l’institut. Ils avaient tout pour que l’autre ne puissent le supporter. Contraints de suivre les cours de Latin dans la même classe, ils auraient presque eu envie de quitter les bâtiments scolaires lorsque leur aimable professeur les força à collaborer pour un travail important en Latin. Ces deux semaines de travaux communs furent un supplice, une troisième guerre mondiale. Et comme Juliet devait remonter sa moyenne – qui n’était guère brillante, contrairement à ses habitudes, leur – toujours très aimable – professeur, les obligea à nouveau à travailler ensemble. Puis, il y eut cette soirée. Cette soirée où le jeune homme se sentit obligé de mettre les points sur les i et d’avouer à la jeune étudiante ce qu’il pensait d’elle et de son comportement. Elle ne mâcha pas ses mots non plus, et encore une fois, la journée se termina sur des cris et des bouquins jetés à travers la pièce. Et ce ne fut que lorsque la jeune Stoneham mit – par hasard – la main sur des effets personnels de Minotti, des photos de sa mère ainsi que des écrits de sa jeunesse, qu’elle comprit les raisons de sa manière d’agir et cette carapace qu’il forgeait autour de lui. Elle n’aurait pu expliquer ce qui s’était produit en elle ce jour-là, mais sa vision du jeune homme avait totalement changé et elle était prête à l’écouter, à apprendre tout de lui. Et comme elle avait perdu ses manières et ses chichis, Fabrizio put remarquer que derrière cette blonde superficielle se cachait une jeune femme au grand cœur. Et ce fut à partir de là que l’histoire de Stone et Minotti débuta réellement ; une amitié sincère, inébranlable, dérangeante pour les autres mais indispensable pour eux. Depuis ces cinq dernières années, il ne passa pas un jour sans qu’ils se voient. Juliet a pris l’initiative de squatter le domicile de Minotti et de s’immiscer dans sa salle de cours – soit pour lui apporter du café, soit pour lui dire bonjour (pour la quatrième fois de la journée). De son côté, Fabrizio se sent obligé d’étudier en détail chaque rencontre masculine de la jeune femme. Entre eux, c’était simplement inexplicable, intouchable.
ZACHARY MARSHALL (Chace Crawford)
Autrefois, Juliet et Zachary se rendaient main dans la main aux fêtes organisées, et passaient d’agréables soirées en tête à tête. Si leur idylle a duré près de onze mois, ces cinq dernières années ont apporté leur lot de changements. Actuellement, on parle de Juliet sans évoquer Zachary, et l’on nomme Zachary sans songer à Juliet. En vérité, les deux jeunes gens ont mis un terme à leur relation lorsque la jeune femme entama sa dernière année à l’ISP. Vous vous en douterez, les motifs de cette séparation ne furent pas donnés publiquement, et leurs condisciples restèrent dans le doute et l’interrogation. Quelques années plus tard, chacun a repris sa route. Elle, assistante à l’ambassade hollandais. Lui, opérateur de marche. Et bien contrairement à ce que l’on aurait pu attendre, cette rupture les avait rendus plus forts, et avait surtout renforcé leur lien. Il arrive parfois que la vision de certaines choses ne s’éclaircisse qu’après de longs moments. Leur idylle naïve et tendre en était la preuve ; si ces mois passés ensemble leur avaient semblé être les plus doux et les beaux au monde, ce qui les attendait surpassait bien cela. Une rupture qui leur avait permis de comprendre à quel point ils tenaient à l’autre, mais sans sentiments basés sur l’amour. A présent, Juliet et Zachary voyaient d’autres gens, se conseillaient en amour, faisaient des sorties entre amis. Comme si onze mois de leur vie s’étaient envolés, sans laisser de séquelles. Le poids de la culpabilité en moins, leur complicité n’avait jamais été aussi intense qu’à partir de ce moment-là. Et cinq années après l’ISP, ils sont encore plus amis qu’avant et n’hésitent pas à sortir manger au restaurant ou à aller boire un café au coin de la quatrième.
HARRISON WOLFE (Topher Grace)
Des rencontres, nous en faisons tous. Mais ce genre de rencontres débiles, il y en a peu. On n’en fait qu’une seule fois dans sa vie. Et pour Juliet, se fut Harrison. Si elle voyait en Minotti ou Zachary des amis proches, presque des frères, Harrison était pratiquement son elle en mec, son double masculin, son homologue franco-canadien. Le 11 mars. Ils se souviendraient tous deux de cette nuit du 11 mars. Certes parce qu’ils s’étaient rencontrés pour la première, mais aussi parce que la plus grande des conventions Star Wars avait eu lieu. Fans, ils l’étaient. Complètement drogués à ces deux trilogies de guerres dans l’espace, c’est dans l’espoir de peut-être rencontrer Han Solo qu’ils s’y étaient rendus. Harrison était envoûté par les figurines massives et originales qui décoraient l’entrée. Et alors qu’il murmurait l’une des innombrables répliques cultes du film, une seconde voix s’ajouta, comme un échos, et termina la citation. L’une des préférées de Juliet, évidemment. Bien que leur passion commune pour Star Wars méritait que l’on érige un temple et que l’on allume un millier de cierges, ils apprirent avec stupeur avoir, en plus de cela, des relations communes. Fabrizio Cominotti, un ami commun ? De fait, ils avaient du se voir à quelques fêtes et au détour d’un couloir de l’ISP, sans jamais y prêter attention. Mais depuis qu’ils savent que l’autre sait à quel point il aime Star Wars, ils ne peuvent s’empêcher de s’organiser un tas de soirée dvd devant leurs trilogies préférées. Et cette passion va même jusqu’à pourrir les conversations avec Minotti, qui débouchent toujours sur la Guerre des Etoiles. S’il ne devait rester qu’eux sur Terre, ils termineraient leur vie devant Star Wars, c’est évident. Mais naturellement, une réelle affection existe entre ces deux mordus de films.
LAUREN BAXTER (Leighton Meester)
Voilà maintenant près de huit ans que Lauren et Juliet se connaissent. Ce genre de rencontres que l’on pourrait qualifier de banales car deux jeunes étudiantes qui deviennent amies grâce aux cours communs n’a rien de réellement passionnant. Cependant, cette rencontre aurait pu –évidemment- être d’un ennui terrible si Lauren et Juliet n’avait pas été Lauren et Juliet. Vous suivez toujours ? Si deux personnes ennuyeuses sont ensemble, leur relation risque de surpasser l’atrocité. Mais lorsque ces deux jeunes personnes en question se trouvent être de vraies cinglées, les temps semblent s’annoncer meilleurs. Toutes deux originaires d’une famille prépondérante en Angleterre, elles se sont rapidement trouvé un amour commun pour leur terre d’origine. Et évidemment, leurs similitudes n’ont cessé de grandir, et il semblerait à présent qu’elles aient tout en commun ; les goûts, les habitudes, les amours. Car au-delà des paires d’escarpin ou du dernier sac Prada identiques qu’elles achètent, il leur arrive de sortir avec les mêmes garçons. Etonnant ? Cela les fait au moins rire. Mais ce qui est certain, c’est qu’une soirée en compagnie de ces deux jeunes femmes risquent vite de se transformer en bazar international. Simplement, elles aiment faire la fête, les boissons alcoolisées, tester leur indice de charme sur échelle de 1 à 10 et surtout, elles s’aiment l’une l’autre. De la fontaine en forme politiquement incorrecte aux bars gays, en passant par les supérettes nocturnes et les stades de foot, elles ont fait tous les endroits agités et bizarres d’Amsterdam ensemble. Certes elles peuvent faire preuve de beaucoup de sérieux lorsqu’il s’agit de leurs études ou de leur métier actuel, mais une fois la nuit commencée, elles se transforment en folles alliées, comme Tommy Oliver se transformerait en Power Ranger rouge, comme elles aiment le dire. Evitez d’essayer de comprendre, dégustez simplement.
• AUTRES
- Juliet n'a pas été dotée de la capacité mentale lui permettant de comprendre les sous-entendus faits dans diverses conversations. Par contre, la vie lui a permis de trouver des sous-entenuds lorsqu'il n'y en a pas. Il lui est donc extrêmement difficile de suivre une conversation rapide, bourrée de symboliques et de sous-entendus bizarres. - Elle a une sainte horreur des sushis. Au lieu de les manger, elle les balance. - Durant son enfance, elle voulait épouser le sosi de son père. Maintenant, plus. - La jeune Stoneham est une virtuose du piano, mais chante comme une casserole. C'est pour cela qu'elle réserve l'exclusivité de sa voix rayée à sa douche. Il n'est donc pas rare de l'entendre chanter - voire plutôt brayer - lorsqu'elle prendre une douche. Bien qu'elle songe parfois que même l'eau est dérangée par ses fausses notes. - Elle n'a aucune notion du temps, et débarque partout n'importe quand. - Juliet est une inconditionnelle des films de science-fiction et d'horreur. Si elle affectionne les films d'action riches en émoglobyne et les comédies musicales, elle ne regarde les comédies romantiques et les films à l'eau de rose qu'à contre-coeur. Non, ce qu'elle aime se résume au sang qui coule à flot, aux beaux mecs en t-shirt déchiré et quand la fin se termine sur une apocalypse ou sur la mort de toute une population. Inutile de lui demander pourquoi, elle affirme avoir un fond sadique. En vérité, ses films préférés sont The Sting avec Robert Redford et Paul Newman, Patriot avec Mel Gibson et l'incontournable Star Wars qu'elle connaît sur le bout des doigts. - Capillairement parlant, elle a toujours été très instable. Blonde de nature - vous l'aurez compris - elle n'hésite cependant pas à rendre visite à son coiffeur - Ricardo, coiffeur portoricain de 27 ans, accessoirement gay dont le coming out date de son 17e anniversaire. Tantôt teinte en brune, tantôt transformée en oeuf de Pâques rose, elle adore le changement. Si cette extravagance capillaire peut étonner, Juliet ne nie pas adorer avoir de longues mèches roses et voir les gens écarquiller les yeux lors de son passage. Cependant, elle semble s'être calmée. - Elle comprend toujours les blagues après deux ou trois heures. - De plus, elle ne possède pas de mémoire à court terme. En d'autres mots, elle retient incroyablement bien des choses remontant au déluge, mais si vous lui demandez ce qu'elle a mangé l'heure précédente, elle serait impossible de le dire. Ceci expliquant cela, il n'est pas étonnant de remarquer que les murs de sa chambre sont remplis de post-it de diverses couleurs, tous comportant des annotations importantes. - Elle adore les lézards et autres reptiles, quels qu'ils soient. - Juliet souffre cependant de claustrophobie assez impressionnante, puisqu'elle refuse d'entrer dans des lieux clos. Par exemple, elle roule toujours les carreaux ouverts, et les vitres ne sont jamais fermées chez elle. Les espaces confinés la rendent simplement malade. - Elle perd sans cesse son portable, et c'est pour cela que son patron lui a payé un bippeur.
• Avatar : Rachel McAdams. • Fille ou garçon : Troisième sexe en voie de disparation. • Comment avez-vous connu le forum ? : Bonne question, de fait. • Commentaires : La cygogne, elle a fait plof. Elle a la tête comme un couglof (BAF) ! J'ai rarement eu le talent de faire des commentaires constructifs, mais j'ajouterai cependant ; I'm back :p Dites au moins que ça vous fait plaisir.
Dernière édition par Juliet Stoneham le Jeu 13 Mar - 19:54, édité 19 fois | |
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Juliet Stoneham
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| Sujet: Re: Juliet Stoneham | Candy doll Dim 9 Mar - 15:50 | |
| Han, merci Lieuse de pensées & Bwôheuse Fallait bien que je revienne. En fait, c'était pas une urgence internationale, mais comme vous me manquiez trop et que je suis tombée amoureuse du nouveau design, je me suis dit pourquoi pas. Je terminerai - ou plutôt commencerai - cette fiche ce soir et la semaine suivant, parce que là je dois aller me suicider en callant 21 pages en Bio, la grande marrade quoi. | |
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