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| Billie Casablanca | Candy doll | |
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Invité Invité
| Sujet: Billie Casablanca | Candy doll Lun 17 Déc - 15:33 | |
| © LALOQUACIOUS & FRAKKING_ICONS I. IDENTITE
• Nom : Casablanca. • Prénoms : Billie Ann. • Surnom : Dire que la demoiselle a une aversion profonde des pseudonymes résultant de longues recherches indigentes serait un doux euphémisme. En effet, Billie n’apprécie guère que l’on écorche son prénom dans le but de chercher de la « familiarité ». La jeune femme tolère uniquement qu’on puisse l’interpeller par son nom de famille, et encore. • Age : La jeune Casablanca a récemment soufflé sa dix-neuvième bougie. • Date de naissance : Un lundi vingt-neuf décembre dix-neuf quatre-vingt huit. • Lieu de naissance : Dans une clinique de Dublin, la capitale irlandaise. • Nationalité : Billie est originaire d’Irlande, et en a d’ailleurs pris la nationalité.
II. SCOLARITE
• Année d’étude : La jeune femme entame sa seconde année d’étude à l’ISP, et est absolument ravie et satisfaite de suivre les cours au sein de ces bâtiments européens • Note à l’examen d’entrée : L’étudiante a obtenu un très beau 87 sur 100, et l’on peut dire qu’elle est en très fière, car tous savent que les examens sont assez durs. • Langues : Billie suit toujours les cours d’Allemand et d’Anglais. Elle a cependant ajouté l’Italien à son horaire, et se demande de plus en plus si ce choix était bien résonné • Options : La jeune Casablanca a opté pour la musique, dans un premier temps, l’une des options qu’elle apprécie le plus. Ensuite, elle a choisi des cours de Littérature. • Sport : La demoiselle pratique le sport auquel presque personne n’aurait imaginé l’associer ; le football. Certes étonnant, mais Billie pratique ce sport avec assiduité.
III. AUTRES
- Billie a de nombreuses passions. L’une d’entre elles est l’attachement amouraché qu’elle porte aux séries télévisées. Et s’il est vrai que la jeune femme ne se plaint pas d’aller au cinéma, elle préfère cependant les séries, qu’elles soient récentes ou non. En effet, chez elle, elle possède une collection impressionnante de Dvd et d’enregistrements au sujet de ces dites-séries. Parmi ses favorites, on peut compter « The A-Team » avec son amour de jeunesse, le personnage de Templeton Peck, pour qui elle aurait pu tout abandonner à quatorze ans. D’autres comme « Who’s the boss ? » ou « Amicalement vôtre » avec Roger Moore et Tony Kurtis. Elle n’a pas réellement de genre préféré, en fait elle les aime toutes. L’étudiante préfère d’ailleurs les vielles séries aux actuelles. - La jeune Casablanca est une dragueuse invétérée. A vrai dire, elle ne parvient pas à se stabiliser avec un garçon, et enchaîne les aventures de courtes durées. Billie possède une liste impressionnante de conquête, et même si elle prétend le contraire, l’étudiante aimerait sérieusement trouver l’homme de sa vie. Et si elle commence à désespérer, elle espère que l’ISP répondra à ses désirs. Cependant, aucun besoin d’alerter ses camarades et ses amis proches de cette envie secrète de former un couple de plus d’une semaine. - Billie est une virtuose si l’on évoque le piano. En effet, depuis sa plus tendre enfance, la jeune femme a eu l’immense privilège de suivre des cours de solfège, ainsi que des cours de piano. Voilà maintenant dix ans qu’elle fait glisser ses doigts sur les touches de l’instrument, et autant dire qu’elle possède un potentiel incroyable. De plus, Billie possède un timbre de voix plutôt charismatique et appaisant. Si elle est douée en musique, elle n'en est pas moins une chanteuse talentueuse, bien qu'elle ne désire pas en faire son métier. - L’étudiante est un estomac sur pattes, ce qui peut étonner en raison de sa faible carrure et de son poids plume. Cependant, Billie a bon nombre de pêchés mignons, et passe une majeure partie de son temps à manger, en toute simplicité. Si certains aiment le chocolat et la glace banane avec double ration de chantilly, la jeune femme en a fait une passion. Certes, avec une petite préférence pour les desserts sucrés, Billie se vente d’avoir goûter à presque tout ce que la terre peut lui proposer, de comestible bien entendu. Des mets orientaux aux plats américains, en passant par les spécialités locales et les recettes typiques des fêtes, Billie ne serait dire ce qu’elle préfère. Mais ce qui est certain, c’est que l’étudiante a un petit faible pour toutes les sucreries telles que les sucres d’orge ou encore les carambars. La jeune Casablanca fonctionne au sucre.
• Avatar : Zooey Deschanel. • Fille / Garçon : Sans grande surprise, la pointe de la féminité. • Comment avez-vous connu le forum ? : Destinée & Birdie, évidemment. • Commentaires : Au lieu de répéter ce qui fut déjà dit antan, je dirai simplement que vous faites un boulot remarquable mes Bichettes. Ce forum est un vrai petit bijou, et j’espère qu’il vivra longtemps, il le mérite. Vous m’avez manqué !
IV. PSYCHOLOGIE
• Traits de caractère : Différente. Ce qui est évident, c’est que Billie l’a toujours été. Depuis sa petite enfance, elle s’est toujours distinguée de par sa manière de penser et de par sa façon de percevoir le monde. Encore aujourd’hui, cette différente est flagrante, mais ne signifie cependant guère que la jeune femme soit quelqu’un d’étrange. A vrai dire, l’étudiante a toujours eu l’impression de vivre dans un monde qui n’était pas le sien. Même si la vie qu’elle menait était paisible et agréable, Billie s’est toujours sentie faite pour autre chose, et c’est ce sentiment de différence qui l’a fait devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Premièrement, la jeune femme a toujours été une personne naturelle, et n’a jamais tenté de cacher ce qu’elle était. A vrai, elle assume chacun de ses gestes, qu’ils soient bien ou non, et cela lui permet de voir le monde différemment. Ensuite, Billie a toujours été quelqu’un de très généreux, autant concrètement qu’au niveau de sa personne. Etant donné le monde dans lequel nous vivons actuellement, la belle a ressenti ce besoin de rattraper ces années passées à profiter. De ce fait, la demoiselle est d’une grande bonté, et n’hésite pas à donner son temps si besoin est à ses proches, et à ses connaissances. Non contente d’être une oreille attentive qui écoute maux et peines, Billie est également quelqu’un de très bon conseil. Même si elle a parfois accumulé les erreurs dans certaines périodes de sa vie, l’étudiante a toujours le don d’aider, en écoutant, en répondant présente et en donnant un point objectif sur la situation. D’où Billie possède le statut de la bonne amie, une épaule sur laquelle on peut pleurer et des bras pour le réconfort. De plus, la jeune Casablanca est une personne d’un naturel très dynamique. Spontanée et pétillante, rares sont les moments où la jeune femme n’affiche pas un sourire éclatant. En effet, Billie est toujours en activité, voire même surexcitée. Pire qu’une pile électrique, l’étudiante a du mal de rester en place et trouve toujours quelque chose à faire, ce qui a parfois tendance à épuiser son entourage. Billie possède également un très grand sens de la réparti. Un avis sur tout et des idées bien fixes, la jeune femme possède un caractère bien trempé, et tient généralement tête. Ce qui est certain, c’est qu’elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds, et qu’elle compte bien faire entendre ce qu’elle a à dire. Cela n’empêche cependant pas de répondre avec beaucoup d’aise et d’humour. En effet, même si les réflexions caustiques et les blagues salaces de la demoiselle ne séduisent pas tout le monde, il va de soi que ce petit brin de folie lui est totalement personnel. Cependant, outre ce trait de caractère extraverti et un peu décalé, Billie n’en reste pas moins une jeune femme attentionnée et studieuse, qui sait faire la part des choses, et comprendre lorsqu’il faut arrêter. Elle se trouve également être plutôt responsable, bien que faisant parfois des erreurs, et d’une grande sensibilité, qu’elle tente de dissimuler derrière cette façade de ‘je m’en foutiste’. Bien évidemment, Billie a tout de la jeune étudiante modèle et angélique mais en est bien loin. Si ses qualités sont nombreuses, ses défauts ne sont pas pour autant inexistants. En effet, la jeune femme est terriblement maladroite et tête en l’air. Un jour son portable, le lendemain ses clefs, il ne se passe pas un jour sans qu’elle n’oublie quelque chose, et surtout, sans qu’elle ne renverse quelque chose, voire elle-même. Billie manque donc de discrétion, dans son allure, mais également lorsqu’elle parle. A croire qu’elle désire en faire profiter le pays, l’étudiante parle extrêmement fort, et ne s’entend pas parler. De plus, elle accompagne toujours ses dires par de grands gestes qui se veulent explicatifs mais qui détruisent surtout la moitié du lieu où elle se trouve. Ensuite, la jeune Casablanca est une vrai tête de mule. Bornée comme jamais, elle refuse de reconnaître ses tords, et arrive bien souvent à dévier le sujet afin de rester sur sa position de ‘j’ai toujours raison’. Finalement, Billie est parfois trop franche. Non pas qu’elle blesse les gens de son plein gré, mais il arrive qu’elle ne pèse pas le poids de ses mots, et touche certaines personnes plus qu’elle ne pouvait l’imaginer.
• Manies : Billie a toujours été quelqu’un de très gestuel et de très tactile. Même si aucun de ses ancêtres ne semblent avoir de racines italiennes, la jeune femme a ce besoin étrange d’accompagner chacune de ses phrases par un geste qu’elle estime assez significatif. Des gestes d’une ampleur certaine, qui finissent généralement par heurter quelqu’un ou quelque chose. Quoi qu’il en soit, malgré la situation, le lieu ou les personnes, l’étudiante ne pourra jamais s’empêcher de bouger ses mains, voire même ses bras, dans d’étranges sens, afin de clarifier la situation. De plus, la jeune Casablanca pose toujours ses mains quelque part, lorsqu’elle tente de camoufler ses mouvements involontaires. Il lui arrive de tapoter le bord de la table, de glisser ses doigts sur son verre, de tortiller une mèche de cheveux autour de son index, de craquer ses articulations ou encore de jouer avec le bouton de manchette de son interlocuteur. Certaines manies qui peuvent vite provoquer un état d’énervement chez certaines personnes. Ensuite, Billie a l’habitude de ponctuer ses phrases de petites grimaces, elles aussi peut-être significatives, et de sons comme des « Ha », des « Hmphf » ou des « Mmmh ». D’ailleurs, la belle ne peut s’empêcher de placer un nombre impressionnant de « donc » et de « voilà » dans chacune de ses phrases, histoire de meubler.
Dernière édition par le Sam 5 Jan - 23:32, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Billie Casablanca | Candy doll Mar 18 Déc - 0:31 | |
| V. APPARENCE
• Allure générale : Billie a toujours été de ce que l’on pourrait qualifier de ‘poupée de porcelaine’. Douce et raffinée à la fois, son charisme n’a d’égal que la classe qu’elle dégage dans son allure tout entière. Dans sa manière de se comporter, de s’avancer ou de se manifester, on peut aisément remarquer que le milieu dans lequel elle a vécu l’a largement influencée. Même la jeune femme ne possède la taille mannequin, on ne peut nier qu’elle est dotée d’un corps ravissant. Des courbes bien placées, de longues jambes élancées et un tour de taille parfait, Billie possède l’allure des plus grandes sans être le stéréotype de la gravure de mode. La jeune Casablanca possède un teint de peau satiné, plutôt pâle, mais contrastant avec la couleur de sa chevelure. Cette dernière est en effet d’une couleur plutôt foncée, entre le châtain et l’ébène. De longueur assez longue, ses cheveux descendent en cascade jusqu’au milieu de son dos. Ils sont de nature plutôt souple et raide, coupés en une frange au-dessus des sourcils. Billie possède également deux yeux d’une couleur virant entre le gris et l’azur. Ils sont en forme d’amande, ornés de longs cils noirs que l’étudiante maquille quotidiennement. Les traits faciaux de la demoiselle sont fins et esquissés à la perfection. Une description physique plus approfondie ne ferait que certifier ce que tous pourraient déjà affirmer. En effet, Billie est une jeune femme d’une beauté certaine, que charisme et caractère ne font que renforcer. Certes, il est rare de la voir se pavaner en rue afin d’attirer les regards. Cependant, elle dégage énormément de classe et de simplicité. Un sourire angélique, de petites fossettes, ainsi qu’un nez qui se retrousse en cas de mécontentement, tels sont les ingrédients qui, dosés à point, donnent un physique aussi avantageux que le sien. Et si elle peut paraître fragile en apparence, car sa taille moyenne et son poids plume le laisse à croire, la jeune Casablanca peut vous persuader du contraire. Un autre détail important concernant le physique de la belle est le charme qui s’en dégage. De nature très déterminée, voire même obstinée, il arrive que Billie usent de ce dit-charme afin d’arriver à ses fins. Cependant, elle n’est pas entièrement convaincue de son pouvoir de séduction, ou de son sex-appeal, mais cela est évident ; ça marche à tous les coups.
• Style vestimentaire : Définir un style vestimentaire chez Billie résulterait d’un effort quasi surhumain. En effet, la jeune femme a toujours eu horreur d’être dans la norme ou semblable à une vingtaine d’autres filles dans un rayon de dix kilomètres. Sans être vêtue de peaux de bêtes ou tenues multicolores, elle a su lier l’utile à l’agréable ; une tenue simple, moderne, mais qui n’est pas issue d’un magazine de mode. C’était tout ce qu’elle demandait. Actuellement, on pourrait situer Billie entre la fille fashion et la classique moderne. Un mélange qui lui convient parfaitement, et qui ne peut que la mettre en valeur. La jeune Casablanca n’a guère de préférence, et porte pantalons comme jupes, lorsque le temps s’y prête, évidemment. Elle affectionne autant les robes d’été et les jupes d’hiver que les slims et les mini-shorts de vacances. A vrai dire, tout lui sied à merveille, et la jeune femme porte ce qu’elle aime, sans se soucier du regard que l’on peut porter sur elle. Moderne sans être vulgaire et classique sans tomber dans l’avant-guerre, l’étudiante aime les couleurs vives, ainsi que les tons plus neutres, et aime énormément les tons grisâtres en hiver, contrairement aux tons rouges et verts qu’elle adore quand l’été montre le bout de son nez. Bref, Billie aime la diversité plus que tout, et ce style lui va tellement bien après tout, non ?
VI. ADRESS BOOK
LAUREN BAXTER (Leighton Meester)
Lauren et Billie ? Une histoire absolument … Décalée. Elles n’ont jamais été amoureuses du même garçon, elles n’ont jamais été saoules ensemble, elles ne se sont jamais retrouvées en retenue à deux. Non, leur relation va au-delà du commun. Une passion commune, la littérature. Entre épicurisme et stoïcisme, les discussions volent bas. Des essais philosophiques, des citations transformées, et des bides. On pourrait résumer ainsi cette relation qu’entretiennent les deux jeunes femmes. Elles s’adorent.
HEATHER NIELSEN (Kristen Bell)
Une blonde, une brune. Bien vu. Billie n’est pas sans savoir l’engouement qu’à Heather à l’égard d’un certain étudiant plus âgé de l’ISP, et la jeune Sullivan prend un malin plaisir à embêter sa camarade sur le sujet. Conclusions faussées et tentatives de drague complètement foireuses, Billie a bien décidé de montrer son affection à la jeune femme en s’immisçant dans sa vie de sentimentale, déjà bien compliquée. De son côté, Heather tente désespérément de caser Billie, chose qui relèverait presque de l’impossible.
FABRIZIO COMINOTTI (Ashton Kutcher)
Fabrizio a toujours été le bellâtre dont toutes les filles étaient folles. Toutes, sauf une. Billie n’a jamais été attirée pas ce genre de garçons, et préfère même les éviter. Cependant, étant contrainte de lui demander de l’aide pour surmonter les cours d’Italien, une amitié profonde s’est créée depuis de longs mois. Elle est la seule fille qu’il respecte réellement, et il est le seul étudiant qu’elle ne tentera pas de démolir devant ses copains. Fabrizio joue donc le rôle de professeur d’Italien, tandis que l’étudiante écoute passivement ses nombreuses histoires de cœur. A présent, ils se demandent comment ils pourraient se passer l’une de l’autre, car cette complicité est inégalable.
VI. BIOGRAPHIE
• Ascendance sociale : Il pleuvait. Il pleuvait depuis près de trois semaines. Une pluie froide et battante, qui s’abattait sans relâche sur Dublin, et qui aurait bientôt raison des récoltes saisonnières des O’Neill. Ces paysans étaient d’une gentillesse presque inquiétante. Ils avaient certes compris la Nouvelle, et aidaient leur prochain avec zèle et enthousiasme. Une fermette chaleureuse qui abritait un couple de cinquantenaires dont les revenus dépendaient de l’abondance des récoltes. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, Billie avait toujours souhaité vivre de cette manière. Une simplicité tellement sobre et paisible qu’elle la bouleversait intérieurement. Mais au lieu de cela, la jeune Casablanca avait eu l’immense chance, et le grande honneur évidemment, de naître dans une famille à l’opposé de ces aspirations. Bien sûr, elle aimait ses parents et ses frères avec une très grande sincérité, mais elle avait toujours senti comme une gêne, comme une ombre dans le tableau familial. Chose qu’elle ne pouvait, évidemment, avouer à ses parents et qu’elle s’expliquait avec difficulté. Jonathan Casablanca avait vu le jour ici-même, à Dublin. Fils de bonne famille, il avait très tôt quitter le nid familial afin de poursuivre de brillantes études de l’autre côté de l’océan. Diplômé d’une Université américaine dont la réputation n’était plus à faire, il avait fondé son cabinet d’avocats, et était aujourd’hui demandé à travers tout le pays. Quelques années avant, il avait par hasard fait la connaissance d’Hannah Lancester, une jeune Irlandaise dont la famille était établie dans le nord du pays. Le coup de foudre ne fut pas immédiat, et pourtant. Ils finirent par officialiser leur amour par un mariage faste et par un nouveau venu dans la famille. Cependant, cet enfant ne fut que le premier. Hannah Lancester, désormais Casablanca, donnerait naissance à trois fils et à une fille. Caleb, le premier des fils de la famille, était le portrait craché de son père. Etabli aujourd’hui en Amérique, il vit une paisible existence avec sa femme et ses deux enfants. Neurochirurgien, lui aussi a suivi les traces de la famille et laissa son nom dans les annales de l’Université qu’il fréquenta. Il y avait ensuite Alexander, dit Alex la terreur. Si Billie s’était toujours considérée comme membre à part de la famille, Alexander en était bel et bien un. A dix-huit ans, il avait cessé ses études pour partir avec sa copine, une droguée selon la famille, en Australie. Depuis, aucune nouvelle. Mais comme le dicton le dit « Pas de nouvelle, bonne nouvelle », tous ont cessé de s’inquiéter. Le dernier fils naquit sous le nom de Thomas. Sans doute le plus posé et le plus abordable de ses frères, Billie entretient aujourd’hui une relation très agréable avec ce frère. Toujours là pour lui, et réciproquement, il est sûrement le seul à ne pas avoir sacrifier ses poupées ou démoli ses châteaux de sable lorsqu’elle était enfant. Un joli portrait de famille, qui tend parfois à effrayer certaines personnes. Qui a dit qu’il n’était pas chouette de vivre avec quatre hommes à la maison ?
Dernière édition par le Jeu 3 Jan - 19:33, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: Billie Casablanca | Candy doll Mar 18 Déc - 11:58 | |
| • Anecdote de l’enfance :
« MAMAAAAAN ! »
Un cri retentit, et les murs de la maison semblaient s’être mis à trembler. Dans l’une des chambres du premier étage, Billie courait de façon circulaire en hurlant de toutes ses forces. Sur le lit, Caleb arborait un sourire mutin, tandis que son regard verdâtre était fixé sur la poupée qu’il tenait fermement. Jadis, cette poupée avait de longs cheveux couleur or, une peau satinée et de belles robes de princesse. Maintenant, elle avait le visage tagué et les cheveux en bataille. Elle était nue, et il lui manquait un bras. Cette poupée avait été le souffre-douleur de Caleb ces derniers jours, et la dénommée Mary était dès à présent complètement martyrisée. Chaque jour était un réel supplice, et Billie commençait à se demander ce qui pouvait l’empêcher de tuer son frère. Mais en y réfléchissant plus, trop de choses l’en empêchaient. Hannah entra en trombe dans la chambre. Il lui suffit de baisser les yeux pour comprendre ce petit jeu auquel Caleb jouait. Elle soupira longuement, avant de réprimander son fils qui, le regard angélique, promit de ne plus recommencer. Satisfaite, la mère de famille retourna à ses activités. Un sourire de vainqueur aux lèvres, Caleb tourna la tête.
« Et tu crois vraiment que je vais arrêter ? »
Il eut un bref rire, et quitta la chambre en courant, laissant Mary seule, abandonnée et désarticulée sur le sol. Billie s’approcha de la poupée, et soupira doucement. Après avoir secouer la tête, elle envoya habilement la poupée blonde dans la poubelle, avant de se laisser tomber lourdement sur son lit. Tandis qu’elle ferma un instant les yeux, un bruit sourd et répétitif résonna. Les sourcils froncés, la fillette tourna doucement la tête vers le mur. Il fallait vraiment qu’elle élimine son frère au plus vite. C’était un rituel, ce besoin de donner des coups de pied dans les murs, tout en sachant que la cloison était bien trop fine. Puis, le bruit cessa. C’était bien trop suspect ce calme, et alors que Billie tenta de se redresser, Caleb entra en courant dans la chambre avant de se jeter sur le lit. Ou plus précisément, d’écraser sa sœur. Il resta un instant couché de tout son long, et de tout son poids, sur Billie, avant de se retirer maladroitement. Il afficha un large sourire.
« T’es complètement débile. »
Il hocha la tête. Oui, il le savait. Caleb se dirigea vers la commode, avant de sortir une poupée, brune cette fois-ci, de l’un des tiroirs. Il étouffa un rire, avant de faire un demi-tour sur lui-même. Un sourire mutin aux lèvres, il plaça la poupée sous les yeux de Billie, la secouant doucement comme pour appâter un animal. Il fixa la poupée un instant.
« Comment est-ce tu l’as appelée celle-là ? Linda ? Je … »
Caleb n’eut pas le temps de terminer sa phrase, que Billie s’était emparée de la poupée et dévalait les escaliers. Après un instant de réflexion, il se mit en chasse. Quoi de plus bruyant que deux enfants qui se courent après ? Jonathan et Hannah cessèrent un instant de parler, avant de froncer les sourcils. Ils n’eurent pas le temps de dire le moindre mot que deux furies arpentèrent le salon de long en large avant de se diriger vers la cuisine. Monsieur Casablanca se contenta de soupirer longuement, avant qu’un bruit ne rompe le silence. Tous deux se précipitèrent dans la cuisine, avant de remarquer avec effroi que Caleb était allongé sur le carrelage. Le regard incrédule, Hannah se tourna vers Billie, qui observait la scène depuis l’une des chaises de la pièce.
« Il est tombé tout seul, promis. »
Le jeune Caleb garda depuis ce moment un petite cicatrice en dessous de sa lèvre inférieure, et personne ne sut vraiment s’il s’agissait d’un accident ou si Billie s’était mise en quête de vengeance. Quoi qu’il en soit, le jeune garçon se méfia désormais de toucher les poupées de sa sœur, pensant certainement qu’elles étaient maudites.
N’est-ce pas merveilleux l’enfance ?
Dernière édition par le Jeu 3 Jan - 19:05, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Billie Casablanca | Candy doll Jeu 3 Jan - 19:30 | |
| • Anecdote de l’adolescence : Un vent glacial soufflait sur Dublin, tandis qu’une neige légère s’abattait sur le pays. Les paysages étaient blanc. Simplement blanc, un blanc si pur que l’on ne peut rencontrer en hiver. Les arbres étaient nus, tapissés d’un épais manteau blanc. Les routes étaient dégagées, malgré une couche légère de verglas qu’il ne fallait pas rencontrer pendant les fêtes de fin d’année. Aux fenêtres, des lumières scintillaient. Celles de la cheminée, celles du sapin préparé pour la fin de la semaine. Dehors, quelques courageux affrontaient le froid, tandis que la majorité des habitants de la capitale s’attardaient devant la cheminée, un café chaud entre les mains. Tout était si magique, tellement unique. Un moment merveilleux, mais une chose n’allait pas.
« ATCHOUM ! »
Billie avait horreur des rhumes. Eternuer, se moucher, avoir froid et devoir rester au lit, quoi de pire avant Noël ? En plus, l’adolescente avait la chance incroyable de parler d’une manière plutôt étrange lorsqu’elle était malade. Chose qui amusait fortement ses frères, qui tentaient discrètement de la faire parler le plus possible. Et ça, elle en était capable, même au seuil de la mort, selon elle évidemment. Assise dans le fauteuil du salon, Billie était emmitouflée dans un épais peignoir rosâtre, un paquet de kleenex à sa droite, un tas de mouchoirs usagés à sa gauche. Les yeux rouges et les paupières mi-closes, la belle écrasait des bâillements toutes les demi-minutes. Puis, une silhouette se dessina dans l’ouverture qui donnait sur le hall. Aucun doute, c’était Thomas. Pourquoi ? Parce que Caleb, à son grand bonheur, vivait avec sa future femme en Amérique et parce qu’Alexander avait quitté la maison depuis quelques semaines maintenant. Où était-il ? Personne ne le savait. La jeune fille se trouvait donc en tête-à-tête avec son frère depuis plus d’un mois, et cela lui plaisait énormément. Enfin, pas toujours.
« Salut sœurette, la grande forme à ce que je vois. »
Billie grimaça, et se redressa. Elle fronça les sourcils, signe de mécontentement, et ce qui présageait une longue tirade afin de contre-attaquer son frère. Une phrase, une simple phrase suffisait à la lancer dans une discussion interminable, et Thomas le savait.
« Ha ha. Tu te boques toujours de boi. Tu sais que ce d’est pas drôle d’avoir un rhube, et que quand ça t’arrivera, je be boquerai de toi aussi. Oh, et puis, tu b’énerves, j’arrête de te parler. T’es vraibent pas sympa, berde. »
Pauvre, pauvre Billie. Thomas ne put retenir un léger rire. Ce qu’il pouvait aimer l’entendre brailler de cette manière. D’une, il ne comprenait pas la moitié de ce qu’elle venait de dire, et puis elle s’énervait toute seule. Mais il n’était pas venu dans le but de l’énerver, pour une fois. Il patienta quelques secondes, avant de se jeter à l’eau.
« Sam a appelé tantôt, quand t’étais sous la douche. »
Billie écarquilla les yeux. Il fallait toujours qu’il appelle quand elle était occupée. Surtout quand elle était sous la douche, chose qui durait près d’une heure par moment. Sam était un garçon de sa classe ; classe, intelligent et plutôt pas mal. Billie en était raide dingue depuis des mois, et ils se regardaient en chien de faïence sans jamais rien s’avouer. Cependant, aucun des deux ne feraient le premier pas, hors de question.
« Sab ? Vraibent ? Bais … Je peux pas l’appeler baintenant, il va be prendre pour une tarée à parler comme ça. Berde, berde, berde. Bon, tant pis. Je l’appelle tantôt. Berci vieux, c’est cool. »
Billie s’approcha de son frère, avant que celui-ci ne recule. Et vu la tête qu’il faisait, elle comprit qu’elle lui ferait un câlin très affectueux une fois que ce fichu rhuma aura disparu. En attendant, il fallait qu’elle s’apprête pour lui téléphoner. Oui, Billie avait cette fâcheuse tendance à ne téléphoner à un garçon que lorsqu’elle était maquillée, parfumée et habillée. Mieux vaut ne pas contredire une femme amoureuse. |
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| Sujet: Re: Billie Casablanca | Candy doll Jeu 3 Jan - 21:13 | |
| • Anecdote à l’ISP : La nuit avait été longue, du moins Billie l’imaginait. Il fallait absolument qu’elle évite la tequila tard le soir. En fait, il fallait qu’elle évite la tequila tout simplement. Conséquences ? Désastreuses. Non seulement Billie n’avait aucune idée de la tournure des événements nocturnes dont elle avait été la directrice, mais elle ignorait tout de ce qui pouvait se produire après ça. La jeune femme sortit de sa chambre en zigzaguant, entrant dans ce qui devait certainement servir de mini-séjour. Les cheveux en bataille, un peignoir sur les épaules, l’étudiante avançait lentement, avant de se laisser tomber sur une chaise. Elle ignorait si cette sensation résultait de la folle nuit qu’elle avait du passer, mais cette chaise lui faisait mal aux reins. Cependant, il était hors de question qu’elle se lamente une minute de plus. D’ailleurs, un tambourinement sourd à sa porte l’en empêcha. Etouffant un soupire, Billie se dirigea malgré elle vers la source du bruit et, à peine eut-elle ouvert la porte, que Fabrizio surgit en trombe. Les yeux écarquillés, l’étudiante tentait de comprendre ce qui lui arrivait. Elle plissa les yeux.
« Minotti ? Qu’est-ce … »
« Debout Billie, il est dix heures. Heureusement qu’on est samedi. »
Billie grimaça. Dix heures ? Cela signifiait, malheureusement, que la nuit avait été très, voire trop, longue. Elle soupira longuement, avant d’indiquer une chaise à son ami. Elle secoua la tête un instant, avant de fixer son regard dans celui de Minotti. Bon, elle n’avait ni migraine ni nausée, c’était déjà ça. En fait, elle se sentait plutôt bien. Après quelques instants, elle cessa de fixer le jeune homme et commença à arpenter la pièce.
« Que me veux-tu un samedi matin, toi ? »
« Italien … »
Un sourcil arqué, il s’hasarda à une réponse brève. Italien ? Billie fronça les sourcils. C’était un nouveau jeu, ou alors un message codé. Elle secoua doucement la tête. Se dirigeant vers le jeune homme, elle prit position sur une chaise, avant de le fixer à nouveau, cette fois-ci, tentant de découvrir ce qui signifiait sa venue soudaine chez elle. Mais étant donné le regard incrédule qu’elle avait, Minotti tenta de s’expliquer.
« Je sais que ta faculté à mémoriser s’amoindrit de semaine en semaine, mais cela fait des mois que je t’aide à améliorer ton Italien. Tu te souviens ? »
Il fronça légèrement les sourcils, avant que Billie ne comprenne –enfin- de quoi il en ressortait. Elle dodelina légèrement la tête en plissant les yeux. Evidemment, ses cours de rattrapage en Italien, quelle courge ! Elle devait avoir dormi très peu cette nuit pour faire impasse sur ces cours qu’elle suivait depuis pas mal de temps.
« Ouais. Je le savais. »
Mais devant le peu de réaction du jeune homme, Billie préféra changer de sujet, et balaya la petite conversation d’un geste maladroit, qui faillit bien décapiter Minotti. Cependant, ce fut qui entama la conversation en premier, l’air pensif.
« T’as déjà vu Andrew Morris ? J’ai rêvé de lui cette nuit. »
Un silence s’installa.
« Merde, tu vires gay. J’appelle les secours ! »
« Très drôle. T’étais dedans aussi ! »
« Dans quoi ? Dans Andrew ? »
Fabrizio soupira longuement, avant de secouer la tête.
« Dans mon rêve, et vous étiez … Ensemble. Etrange, non ? Parce que t’es pas du tout son genre, tu comprends ? Il les préfère blondes et pulpeuses. »
« Blondes et pulpeuses … »
Billie croisa les bras sur sa poitrine, le sourcil droit arqué. Blonde et pulpeuse ? Qu’est-ce que cela signifiait exactement ? Certes, elle n’était pas blonde, mais que voulait dire la gente masculine en terme de ‘pulpeuse’ ? L’étudiante soupira.
« Andrew Morris, ça me dit vaguement quelque chose … »
« Je t’assure. Il aime les filles grandes, sexy … Les canons quoi. »
Billie hocha la tête, et afficha un sourire qui signifiait ‘merci bien’. Minotti haussa les sourcils comme pour répondre par un ‘de rien’. Ils avaient toujours eu cette manière de communiquer tellement personnelle, et ils se comprenaient tellement bien. Puis, soudain, le jeune homme éclata de rire. Il était complètement ravagé lui.
« Maintenant, je vais vous imaginer ensemble … Mon dieu. »
Ensemble ? Billie lâcha un cri inaudible, suivi d’un « merde » plus fort. Minotti cessa de rire, bien qu’il peinait réellement. Billie haussa les épaules, et avant qu’un des deux n’aient pu dire un mot de plus, la porte de le chambre s’ouvrit.
Un garçon, étudiant sûrement, en sortir. Un serviette de bain autour de la taille, qui ne tenait presque que par miracle, laissant apercevoir un corps sculpté à merveille. Il avait la peau pâle, mais des muscles bien prononcés. Avec une autre serviette, il s’essuyait les cheveux. Il avait donc pris sa douche ici ? Billie fronça les sourcils, avant que certains souvenirs ne reviennent à son esprit. Elle en était sûre, la nuit avait été longue.
« Billie, Billie, Billie. Quelle nuit ! Tequila, techno, et puis ta chambre. Tu sais quoi ? On devrait remettre ça ! Tu étais … Formidable. Et puis … T’as jamais été aussi sexy que là-dedans, tu sais ? »
Alors que le bellâtre ne cessait de parler, devant le visage horrifié de Fabrizio et Billie, il envoya, comme un élastique, un SVNI – string volant non identifié – dans la pièce, string qui atterrit par hasard sur l’épaule de Minotti. Celui-ci s’en saisit et, de ses deux mains, l’étira un peu. Taille mini, c’était sûr. Il ouvrit grand ses yeux, avant d’examiner la chose. Il déplaça successivement son regard de Billie au string, comme pour lui demander si cela lui appartenait bien. Soudain, l’étudiant mystérieux retira la serviette qu’il avait sur la tête, et tout se figea. Jusqu’à ce que …
« ANDREW MORRIS !? »
Minotti resta un instant silencieux, avant que Billie ne se tape une main sur le front. Andrew afficha un large sourire, et fixa la jeune femme un instant. Puis, la serviette qui l’empêchait de dévoiler aux deux amis ses petits secrets commença à glisser. Dans un geste étrangement adroit, Billie envoya un coussin au jeune homme qui s’en servit comme … Comme un cache dirons-nous.
« Bon, Morris, dehors. »
« Quoi ? C’est déjà fini nous deux ? »
« Dehors j’ai dit ! »
Finalement, l’étudiant sortit, avant que Billie ne lui balance de quoi se rhabiller. Dans l’empressement, elle avait oublié quelque chose. Deux grandes enjambées, et Billie reprit possession de SVNI, que Fabrizio n’avait pas lâché depuis.
« C’est à moi, ça. »
« Mon dieu. Mon dieu ! J’étais persuadée qu’il les préférait blondes et pulpeuses et … Mon dieu ! Mais Billie, t’es vraiment une perverse ! »
Il avait dit cela en plissant les yeux, et son sourire mutin en disait long. Elle tira la langue, avant de renvoyer le string d’où il venait. L’étudiante se rassit sur la chaise, avant de soupirer. Les yeux fermés, elle soupira à nouveau en entendant Minotti glousser à côté d’elle. C’est vrai que la situation était plutôt étrange.
« Alors, tu portes des mini-strings ? »
« Minotti ! »
« Excuse-moi, mais y a de quoi se poser des questions. Je suis choqué. »
Comme si Fabrizio Cominotti pouvait s’insurger de pareilles choses, lui. Billie haussa les épaules, avant de froncer légèrement les sourcils.
« Si ça peut te rassurer, il ne s’est absolument rien passé. On était bourré, et il a du croire qu’on avait passé la nuit à … Enfin tu comprends. »
« Non, vas-y. Explique-moi. »
Billie donna une petite tape derrière la tête de son ami avant d’écraser un bâillement. Il n’y en avait pas deux comme lui. Mais maintenant, il savait qu’Andrew Morris aimait autre chose que les blondes pulpeuses. Ou l’alcool l’y avait aidé, qui pouvait le dire.
Un long moment de silence.
« J’y crois quand même pas. Tu portes des mini-strings. »
Dernière édition par le Jeu 3 Jan - 21:20, édité 1 fois |
| | | Heather Nielsen Admin | Courgette blonde des steppes
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