Nina Hellis | Lucky Girl [Finish]

Bah voilà... Andrew peut être un ami qu'ils ont en commun avec Nina. Un "ami de la famille"

Sulli ~> Ca risque d'être plus difficile quand il sera bouffé par les vers mais oui
Nina est la femme de sa vie, l'élue de son coeur ! Il faut qu'elle comprenne qu'à côté de ça il a aussi des gens dont il ne peut se passer comme Minotti et Carrie

Salut fiancée de mon meilleur ami.

*LITAAAA *

Qu'est ce que je l'aime ce Wolfy quand il parle comme ça

Bob > Je vais voir ça avec lui et je te tiens au courant Commence pas à régenter ma vie *paf*


Même... C'est pas une excuse ça, cherche pas à poser la faute sur moi Tu l'as dit toi-même, c'est la femme de sa vie, alors il doit s'occuper d'elle ou du moins suffisamment pour que le nom de Minotti ne lui sorte pas par tous les trous
Elle n'est pas jalouse, possessive oui mais pas jalouse, et elle comprend parfaitement qu'il ait des amis en dehors de leur couple etc, c'est pareil pour elle mais des fois c'est excessif

LOOOOOOOOOOOOOOOOO
Salut meilleure amie de mon fiancé

C'est la mode le MPotes ^^ oui envoie moi Mp mdr ^^
j'ai envie de me marier aussi

Cinq années : Comment résumer les cinq dernières années de la vie de notre petite Nina ? A dire vrai, celles-ci sont probablement les plus importantes de toute son existence. Mais pour bien comprendre qui est-elle réellement devenue, il faut revenir quelques années auparavant, lorsqu’elle étudiait encore à l’ISP.

Bien que ses années d’études se soient à peu près toutes ressemblées, c’est à partir de la troisième que les choses ont quelque peu changé. Pourtant, rien ne la prédestinait à se remettre de la sorte en question, à revoir à deux fois la personne qu’elle était vraiment et à réfléchir sur sa vie, tout simplement. La raison d’une telle réflexion ? Sa rupture avec le charmant Seth O’Connor. Les méandres de cette séparation la hantent encore à ce jour car c’est à cause de celle-ci que ses démons du passé ont ressurgi aussi brusquement. Bien entendu, elle est en partie – pour ne pas dire totalement – responsable de cette déchirure fatale. Au final, c’est une souffrance accrue et inattendue qui l’avait attendu au tournant, en rien elle n’avait imaginé une telle chose. Ayant pour ainsi dire ‘remué ciel et terre’ pour se remettre avec lui, elle s’est aussi octroyée le droit d’y mettre un terme une nouvelle fois, un dénouement pour le moins dramatique, digne d’une tragédie hollywoodienne. Le topo est plutôt simple en lui-même. Nina était en couple avec Seth – jusque là aucune complexité possible – et ce dernier a eu le malheur de la surprendre pendue au cou d’Harrison Wolfe, un quatrième année à l’époque. Bien que se situant à une distance non négligeable, la promiscuité de leurs deux visages n’avait trahi personne. Dès lors, à défaut de n’avoir pas signé un cessez-le-feu mais plutôt un cessez-de-vous-aimez-pour-rien, elle avait mis fin pour la seconde fois à leur idylle sans même le préserver d’une douleur morale certaine, chose qu’elle avait voulu éviter par-dessus tout. C’est pourquoi, le soir même où elle se rendit dans la chambre du jeune homme, ce dernier ne l’accueillit pas à bras ouverts. Non, il fût plutôt froid, distant et mauvais avec elle, la rejetant sans scrupule une fois qu’elle eut fini de déblatérer tout un flot d’excuses sincères mais qui ne suffirent pas pour se faire pardonner.

Depuis ce jour, ils ne se sont plus jamais adressés la parole, pas même une seule petite fois. Ils se fuyaient du regard, changeaient d’emplacement lorsque l’autre se trouvait à moins de deux mètres de distance, en somme ils s’évitaient judicieusement. N’allez surtout pas croire que Nina est une femme malheureuse. Loin de là même ! Sa vie frôle la perfection depuis que son destin ainsi que celui de Harrison se sont croisés et ont ainsi décidé d’un commun accord de faire un petit bout de chemin ensemble. Sa rupture avec le jeune Anglais lui aura permis de prendre son temps pour mieux apprendre à connaître celui qui - bientôt - deviendra son époux. Ce n’est que lors de la cinquième et dernière année de Har’ à l’ISP qu’ils se mirent ensemble. Et cela dure maintenant depuis quatre douces années. Ils forment un couple solide, passionné, résistant à toutes les intempéries possibles et inimaginables.

Mais comme chaque couple d’amoureux, leur vie est rythmée par des hauts et des bas, même si les hauts sont plus présents. Il se chamaillent de temps en temps, pour des raisons évidentes d’autres moins… Leur quotidien est parfois routinier mais ils apprécient tellement leur vie commune que ce détail semble insignifiant à leurs yeux. Harrison est comme un pilier central pour elle, le phare guidant sa vie à travers les mers déchaînées que représentait la vie active et adulte, son repère dans cette ville dans laquelle il faut savoir s’imposer, sa lumière qui éclaire son chemin lorsque le doute s’emparait d’elle, sa couverture chauffante les soirs de grands froids. Il lui est indispensable. Sans doute le sait-il, mais il ignore probablement le degré de dépendance à son égard. Car oui, on pouvait clairement parler de dépendance et dans tous les domaines, elle n’est pas uniquement affective. Il est important de rappeler sa séparation avec Seth car sa vie a pris une toute autre tournure ce soir-là. Prônant la sincérité mais aussi la fidélité dans un couple, elle n’était parvenue à tenir qu’une seule partie du marché. Elle l’avait trompé en tombant éperdument amoureuse de Harrison. Tout comme son père l’avait fait avec sa mère, elle l’avait abandonné… lâchement… et pour un autre. Jamais elle ne se serait cru capable d’infliger cela à quelqu’un, pas même à son pire ennemi car depuis ce jour, elle a l’impression d’être devenue tout ce qu’elle déteste. La présence de Wolfe et son amour pour elle lui permettent de garder la tête froide et de se prouver à elle-même qu’elle n’est pas comme son père, qu’elle n’est pas une personne foncièrement mauvaise et surtout pas gratuitement. C’est en partie la raison pour laquelle elle dépend malgré elle de lui.

Leur romance est à ce jour tout ce qu’il y a de plus parfaite. Ils sont fiancés depuis quelques mois déjà et Nina attend un heureux événement. Toutefois, ce petit… grand détail pose problème car elle n’a toujours pas trouvé le courage de lui annoncer la nouvelle. A n’en pas douter, elle a atteint le summum du bonheur en l’apprenant mais elle ignore si Harrison aura la même réaction qu’elle, craignant qu’il ne prenne peur et juge cela trop hâtif. Elle attend seulement le bon moment pour le lui annoncer. Et pour dire la vérité, cela fait plus d’une semaine que le bon moment n’a toujours pas donné signe de vie.

***

23h03. Domicile des Wolfe/Hellis.

Allongée dans son lit et le dos appuyé contre deux coussins - le sien auquel fût ajouté celui de l'homme qui partageait sa vie -, Nina lisait tranquillement un ouvrage qui la passionnait depuis quelques jours mais qu’elle n’était pas parvenue à finir, faute de temps. Ce soir, ils n’avaient prévu aucune sortie bien que le samedi – jour normalement béni – ait été inventé pour s’aérer l’esprit et respirer autre part que chez soi. La jeune femme se sentait plus ou moins fatiguée, éreintée par le boulot monstre qu’elle avait chaque jour sur le dos au bureau. Quant à Harrison, sa soirée était déjà toute vue. Assis devant son ordinateur, lui-même relié à une webcam, il discutait par messagerie instantanée avec ce cher Cominotti. Et comme toujours, du Barry White résonnait dans tout l’appartement. Elle connaissait son amour indescriptible pour le chanteur mais jamais elle ne se serait imaginée devoir vivre une telle chose au quotidien en se mettant avec lui. Barry White au réveil, à la radio, en sonnerie de portable. Partout ! Il était partout. Omniprésent comme Fabrizio, qu’elle connaissait par cœur à force d’en entendre parler. Et ce soir-là, ‘You’re the first, the last, my everything’ semblait particulièrement agacer la jeune Américaine. Bien qu’énervée, sa mauvaise humeur n’y était strictement pour rien. Excédée par les chants on ne peut plus faux de son compagnon, de ses rires stridents et de ses agitations qu’elle pouvait percevoir depuis la chambre, elle se surprit à balancer son livre à l’autre bout de la pièce lorsque la chanson suivante se mit en route. Can’t get enough of your love babe.

« Pour l’amour du ciel, viens te coucher Harrison ! » Hurla-t-elle à pleins poumons.

Il y eut tout d’abord un silence. Se penchant vers l’avant pour guetter la moindre petite réaction de la part de son cher et tendre qui aurait pu éventuellement lui échapper, elle poussa un profond soupir lorsque ce dernier lui répondit avec quelques secondes de retard, hilare et mort de rire à cause d'on ne sait trop quoi.

« Attends ! Minotti a presque fini. »
« Y en a ras le cul de Minotti ! Tu m’éteins immédiatement cet ordinateur et tu viens dormir ! »
« Attends je te dis ! » Il lui répondait sans vraiment lui répondre. Dans la mesure où il continuait à s’esclaffer comme un goéland à l’agonie tout en lui donnant d’évasives réponses, c’était se foutre de sa gueule à ses yeux.
« Minotti sera encore là demain. Moi en revanche, je n’en suis pas si sûre ! »

Encore une fois, ses paroles n’eurent aucun effet. L’habitude ou était-il tout simplement sourd ?
Quoi qu’il en soit, elle se releva avec empressement, attrapa une ridicule petite couverture de laine ainsi qu’un coussin et parcourut les quelques mètres qui la séparaient du salon. Jetant le tout sur le divan, elle se retourna vers Harrison qui l’ignorait magnifiquement tandis qu’un Fabrizio dénudé lui parvenait dans une fenêtre MSN ouverte. Choquée et exaspérée qu’on son fiancé soit aussi puéril que son meilleur ami, elle fût contrainte de crier pour se faire entendre.

« BONNE NUIT ! »

Elle s’approcha de lui, se faisant ainsi découvrir dans le cadre destiné à la webcam de Wolfe et adressa une grimace à Minotti avant de sortir le CD qui tournait en boucle dans la chaîne hi-fi.

« Et j’emporte Barry avec moi. » Vexée, elle ponctua sa phrase d’un habituel ‘Hum’ hautain et marcha lourdement jusqu’à la chambre, claquant le plus brutalement possible la porte derrière elle.



Une fois encore, l’horloge affichait minuit passé, bientôt une heure… Le temps était passé à une vitesse folle sans que Nina s’en aperçoive, bien que la fatigue physique – elle – soit bien présente. Harrison allait lui en vouloir, c’était certain, elle allait se faire taper sur les doigts mais que faire sinon rentrer ? Peut-être que son air penaud la sauverait du grand méchant loup. Une fois arrivée à son domicile, elle déposa ses effets personnels dans l’entrée et ferma la porte à clef derrière elle avant d’abandonner ses chaussures à talons bruyantes et de regagner silencieusement la chambre conjugale. Non sans surprise, elle découvrit allumée la lumière de la table de chevet de son côté du lit alors que celle de Har’ était éteinte. Malin comme un petit singe, il savait qu’elle viendrait se coucher et éteindrait la lumière près d’elle, culpabilisant de rentrer si tard. Mais comme bien souvent, elle l’avait surpris se retourner vivement dans un mouvement tout sauf discret. Demeurant silencieuse, elle se dirigea vers la salle de bain adjacente et s’octroya un petit brin de toilettes avant d’enfiler sa chemise de nuit. Quelques minutes plus tard, elle s’engouffrait dans les draps, le lit réchauffé par le corps de Wolfe, et lança d’une voix innocente :

« Tu dors ? »
« Hum… » Faible bruissement de voix.
« Ah. » Se contenta t’elle de dire avant d’ajouter quelques secondes plus tard, brisant ainsi le silence que seul le tic-tac du réveil troublait. « Je suis désolée mon cœur… Je sais que je t’avais promis de rentrer tôt ce soir. Mais avec les stagiaires inaptes qu’ils nous envoient, j’ai doublement plus de boulot. »
Silence.
« Tu me fais la tête, c’est ça ? »
« Hum. »
« Tu sais dire autre chose ? »
« Oui. »
« Bien. »

Nina éteignit la lumière et vint se pelotonner contre son dos, glissant son bras autour de son torse et enfouissant son visage dans le creux de son cou.

« Tu me boudes même pour un câlin ? » Demanda-t-elle avec amusement tandis que ses lèvres parcouraient la peau de sa nuque, remontant le long de son cou jusqu’à son oreille.
« Je suis un homme. » Rétorqua-t-il d’une voix faussement virile avant de se retourner et de l’emprisonner dans ses bras dans un baiser passionné coupé par le rire espiègle de la blondinette.

J'ai terminé !
Il me reste les liens à écrire mais je pense pouvoir les éditer au fur et à mesure, non ?

Citation :

« Tu me boudes même pour un câlin ? » Demanda-t-elle avec amusement tandis que ses lèvres parcouraient la peau de sa nuque, remontant le long de son cou jusqu’à son oreille.
« Je suis un homme. » Rétorqua-t-il d’une voix faussement virile avant de se retourner et de l’emprisonner dans ses bras dans un baiser passionné coupé par le rire espiègle de la blondinette.

Oui, tu pourras éditer, en rajouter ... dès que tu le voudras
Je valide évidemment

Nina Hellis a écrit:

Barry White au réveil, à la radio, en sonnerie de portable.

Ca me rappelle vaguement quelque chose cette phrase

Nina Hellis a écrit:

« Tu me boudes même pour un câlin ? » Demanda-t-elle avec amusement tandis que ses lèvres parcouraient la peau de sa nuque, remontant le long de son cou jusqu’à son oreille.
« Je suis un homme. » Rétorqua-t-il d’une voix faussement virile avant de se retourner et de l’emprisonner dans ses bras dans un baiser passionné coupé par le rire espiègle de la blondinette.

Quel esprit faible cet Harrison

J'adore de trop trop trop trop ta fichounette

Vous avez copié le même passage
Esprit faible, certes mais il ne tient guère bien longtemps

Pour Barry, ça me rappelle aussi quelque chose mais j'y avais pensé bien avant

Ravie qu'elle te plaise

Enh comment ils sont meugnons Nina et Harry
N'empêche que, Minotti, laisse-les tranquilles

Youhou je valiiiiiiiide.

La Puce Belge chiante mais tellement mignonne > T'as vu un peu Nan mais ne demande pas l'impossible quand même Elle a déjà le droit de l'avoir pour elle seule le soir, c'est déjà pas mal

Api ! J'étais déjà validée par Em' Mais doublement validée, j'ai jamais vécu ça, trop d'émotions d'un coup

Yahou

Ben on se MPotte si tu veux
A moins que tu n'ais déjà des idées bien précises de ce que tu souhaites et une préférence pour l'un de mes personnages

Dans ce cas, je te propose de m'envoyer un MP pour me dire les liens que tu as déjà Je verrai en fonction de ce que tu as