Janeel Fahlen • Ready To Fall

• Identité :

Nom : Fahlen
Prénom(s) : Janeel Nikita Darla. Elle n’a pu échapper à cette habitude qu’ont les parents fortunés d’attribuer à leur progéniture le plus de noms originaux possibles.
Surnom(s) : Puisqu’elle ne porte aucune affection à son prénom usuel –à savoir Janeel-, la majorité de son entourage l’affuble de diminutifs tels Jane, Neel et Fahl.
Âge : 18 ans
Date de naissance : Janeel fêtera prochainement son anniversaire ; elle a vu le jour le 19 février.
Lieu de naissance : Hambourg, Allemagne.
Nationalité : Jane est Australienne de part sa mère et Allemande grâce aux gènes de son père. Puisqu’elle a vu le jour à Hambourg, c’est cette dernière nationalité qu’on retrouve sur son passeport.


• Scolarité :

Année d'étude : Depuis septembre, Janeel a débuté sa première année entre les murs de l’école.
Note à l'examen d'entrée : 73 %. Ses parents ont été catastrophés par un tel échec, évidemment, mais Janeel s’est contentée d’hausser les épaules en prétendant s’être peu investie. Ce qui est sans doute vrai.
Langues : Elle a opté pour l’italien –elle y est médiocre-, le français et le néerlandais.
Options : Elle a immédiatement sauter sur l’option musique, mais son deuxième choix s’est fait plus difficilement. Au final, son père lui a fortement suggéré de prendre des leçons de Grec et elle s’est exécutée en bougonnant.
Sport : Tennis. Il est d’ailleurs étonnant de voir toute l’énergie qu’elle y met.


• Psychologie :

Traits de caractère : Le caractère même de Janeel Fahlen tourne autour du mur de béton qu’elle a érigé autour d’elle. Jamais son entourage ne l’a connu différente de ce qu’elle est aujourd’hui ; trop mature, trop intelligente, trop froide et indifférente à ce qui l’entoure. Son lieu d’étude n’arrange en rien les choses. Jane est une rebelle, une battante, une fille de la haute née blasée et cynique. Elle n’a jamais réussi à apprécier la valeur de ce qu’on lui a toujours donné trop facilement et n’est jamais parvenue à se sentir à l’aise dans les mondanités qui régissent sa vie. Elle s’est alors construit un mur, une clôture de barbelés qui la dispense de sourire quand elle n’en a pas envie. En fait, l’opinion publique veut que Janeel Fahlen ne sourît jamais. Elle préfère le rôle de l’adolescente impertinente et désinvolte, celle qui réagit au quart de tour sur tous les sujets sans pourtant y prêter vraiment attention. Elle parle par sarcasmes, pense par cynismes et ses gestes sont principalement régis par l’envie de passer inaperçue aux yeux des gens. Elle veut être tranquille, point.
On la trouve insociable et lunatique ; elle se considère solitaire et sélective. Elle compte ses amis sur les doigts de sa main, et même ceux-ci doutent parfois de la profondeur de leur relation. Secrète sur sa vie, peu intéressée par celles des autres, elle ne vient que rarement aux nouvelles et certains sont persuadés –avec raison- que s’ils n’allaient pas la voir elle-même ne viendrait jamais. Les contacts prolongés l’ennuient.
Et pourtant Dieu seul sait qu’elle recèle de qualités ; elle est intelligente, débrouillarde, amusante, créative, passionnée… Elle garde malheureusement ses poussées d’humanisme pour le silence de sa chambre, se refusant à montrer ce qu’elle considère être ‘de la faiblesse’. Elle refuse donc de s’attacher, de peur de souffrir, évite de s’impliquer, de peur d’être déçue et ne se confie jamais, de peur d’être trahie. Elle garde tout pour elle.
Une vraie bombe à retardement.

Manies : Selon le psychologue qui a bercé son enfance, Janeel dissimulerait une forte anxiété à tendance névrotique. Rien que ça. Il utilisait en guis de preuves les manies que Jane a toujours traîné derrière elle, à savoir un fort penchant pour le mordillage d’objets quelconques, un rongement d’ongles parfois excessif et les ‘Shit’ et ‘Fuck’ dont elle ponctue la plupart de ses phrases.


• Apparence :

Allure générale : On ne décrit pas Janeel comme on parle des autres jeunes filles de l’ISP. Elle ne possède pas les formes autrefois gracieuses de sa mère, ne mesure pas 1mètre85 et sa voix n’est pas comparable au chant d’un rossignol. En fait, c’est une adolescente, voilà tout.
Petite pour les 18 ans qui la précèdent, Jane traîne derrière elle une apparence d’une incroyable fragilité. Son corps est mince, ses membres fluets. Sa courte chevelure brune arbore une coupe qui, bien que jamais référée par Vogue et Cosmo, sied parfaitement à son visage en cœur et à ses grands yeux noirs. Ses lèvres sont pleines, volontaires, sa ligne de sourcil sarcastiquement courbée et sa dentition parfaite –ses parents vantent aujourd’hui avec plaisir les compétences du meilleur dentiste d’Allemagne.
Il y a pourtant quelque chose chez ce petit bout de femme qui attire, qui dérange l’œil. On ne saurait dire s’il s’agit de l’autorité de sa posture, de ses mouvements saccadés ou du vide de son regard. En photo, la jeune fille paraît fragile, cassable comme une fine coupe de cristal. Lorsqu’on lui fait face, tout est différent ; on ne se mesurerait à elle que sous de puissants arguments.
Style vestimentaire : N’allez pas lui parler de Chanel, Gucci et leurs autres complices dans le crime. Elle se fou des slims Cloé, des talons Yves St-Laurent et reste impassiblement indifférente à la beauté des créations de Versace. Ce n’est pas faute à son entourage d’avoir essayé ; on lui a acheté de sublimes robes, proposé des talons vertigineux et offert le must du maquillage. Ces trésors de la mode se sont ensuite perdus dans les dédalles de son placard et n’en sont jamais ressortis.
Jane aime les jeans. Les pâles, les foncés, du moment qu’ils soient confortables et idéalement trop longs. Elle les agence à un t-shirt d’un quelconque groupe de rock des années 80, passe une veste qui aurait pu appartenir au grand frère qu’elle n’a jamais eu et elle se dit décemment vêtue. Elle ramasse ensuite ses cheveux en une petite couette à l’arrière de sa tête, charbonne rapidement ses yeux déjà trop noirs et se considère prête à sortir. Économie de temps maximum.


• Address Book :

Prénom et Nom
Avatar
Nature de la relation


• Autres :

Avatar : Ellen Page

Fille ou garçon : Jeune demoiselle.
Comment avez-vous connu le forum ? Par é-mail ^^
Commentaires : J'aime, j'adore, j'adopte

J'aime beaucoup le choix de l'avatar même si je dois bien avouer que son rôle dans "Hard candy" m'a perturbé

En tout cas, sois la bienvenue jeune rebelle cynique

Ça m'a fait pareil. Je l'ai trouvé tellement bien dans X-Men III que, curieuse, je me suis intéressée à sa filmographie. Naïve comme je suis, je m'attendais à... je sais pas, quelque chose de différent. Après visionnement, j'étais trop perturbée

Merci beaucoup jeune homme

• Biographie :

Ascendance sociale :
Même si le couple a toujours réfuté cette affirmation, le monde entier sait que l’allliance Bright-Fahlen n’est pas égale. Tout le monde sait que le couple n’est pas solide, pas équitable, que ses moitiés ne se valent pas. Il n’y a qu’eux pour se convaincre du contraire.

À la fin des années 80, Nicole Bright et Tobias Fahlen n’auraient même pas du se rencontrer. Rien n’aurait pu expliquer qu’ils se croisent, encore moins qu’ils se parlent. Le sourire qu’ils ont échangé en ce soir de mars défiait à ce moment toutes les lois de probabilité.
Nicole Bright avait eu une carrière, autrefois. Lorsqu’elle était âgée de 8 ans, elle était considérée comme une vedette chez les jeunes, un talent brut qui illuminerait les feux de Sydney –sa ville natale- jusqu’à rejoindre ceux d’Hollywood. Son enfance fut bercée par le succès de ses pubs télévisées, puis celui de ses films pour adolescents. Le temps passa, et on oublia son nom aussi vite qu’il s’était fait connaître. L’époque Bright était passée ; on voulait du nouveau. Jamais Nicole ne réussit à surmonter la destruction du rêve de sa vie. Durant la décennie 1980, elle tenta plusieurs fois de percer de nouveau le marché cinématographique et fut secouée d’un sursaut d’espoir à chaque fois que son nom apparaissait dans un quelconque magasine à potins. Elle n’alla jamais plus loin que les Poeples.
Tobias était déjà adulte quand Nicole fit sa première pub de dentifrice. Il connaissait déjà ce qui allait être son héritage, savait déjà comprendre les fluctuations boursières et prévoyait diriger la possession familial d’une main de fer une fois son tour venu. En Allemagne, le nom Fahlen fut et est toujours le premier sur les lèvres. On vénère les Fahlen et leur pouvoir, on craint leur influence et on jalouse leur argent. D’abord propriétaire d’une centrale chimique, la famille Fahlen avait peu à peu étendue son territoire jusqu’à posséder le tiers des propriétés privées d’Allemagne. Depuis, jamais leur pouvoir n’avait flanché.

Il fut donc étonnant que l’homme mature qu’était Tobias ne fasse que poser un œil sur la jeune femme amochée et esseulée qui se présenta clandestinement à un cocktail, le soir du 20 mars 1988. Surprenant qu’il lui adresse la parole, aberrant de le voir lui tendre une carte avec l’inscription de son numéro.
Le plus renversant fut, sans doute, d’apprendre quelques mois plus tard que la grand Tobias Fahlen, éternel célibataire tout au long de ses 40 ans d’existence, allait être papa.

Anecdote(s) de l'enfance :
Le psychologue émit un faible grognement d’approbation et ses yeux se baissèrent sur son calepin dont il couvrit les feuilles d’encre. D’un plissement de nez, il remonta correctement sa paire de lunette vieille de la Deuxième Guerre Mondiale et leva un regard professionnel vers son cas le plus intéressant. Son cas du samedi matin. Janeel Fahlen.

Citation :

Samedi 2 octobre 1999, 11h02.
Janeel Fahlen (10 ans, fille unique du couple Bright-Fahlen)

- Comment allons-nous aujourd’hui, Mlle Fahlen ?
- Je ne sais pas comment vous allez, Loïc. Et il n’y aucune Mlle Fahlen dans cette pièce.
- Me feriez-vous l’honneur de m’informer de votre nouveau nom, alors ?
- Jane Ursula.
- Voyez-vous ça, p…
- Bien sur que je le vois, je vous l’ai dit.

Silence du côté du psychologue qui fait aller son stylo contre ses notes.

Citation :

Aux premiers abords, elle semble aussi précipitée que durant les réunions précédentes. Les séances de relaxation familiale n’ont jusqu’à maintenant pas portées fruit.

- Pourquoi Jane ?
- C’est presque comme Janeel.
- Mais ce n’est pas identique. Pourquoi Jane ?
Haussement d’épaules incertain.
- C’est mieux, j’imagine. C’est plus… Fin de la phrase.

Citation :

Semble chercher ses mots. Manque évident de sommeil chez l’enfant qui prend aujourd’hui des décisions sans vraiment avoir de raison de le faire. Vérifier l’inconstance émotionnelle.

- Et Ursula ?
- C’est la méchante pieuvre.
Haussement de sourcil septique.
- La méchante pieuvre ?
- Dans un film débile que ma mère m’a fait écouter.

Citation :

Rejet des icônes de l’enfance.

- Pourquoi avoir choisi le nom d’une pieuvre d’un film débile ?
- Parce que la pieuvre ne l’est pas, elle. C’est la seule qui sait vraiment ce qu’elle veut.
- Et qu’est-ce qu’elle veut ?
- Voler quelque chose à quelqu’un d’autre.

Citation :

Problèmes de jalousie habilement dissimulés. J. Fahlen envie apparemment quelque chose de difficile à obtenir à quelqu’un d’autre. Vérifier auprès de ses parents l’état de sa salle de jeux.

- Et vous vous reconnaissez dans cette pieuvre ?
Haussement d’épaules.
- Un peu. Elle se fiche des autres, du moment qu’elle a ce qu’elle veut. Et elle est moche.

Citation :

Sentiment d’infériorité évident par rapport à son apparence physique. L’objet tant convoité est peut-être un garçon. Le signaler aux parents afin d’éviter toute peine de cœur pouvant conduire à un chagrin pré déprime. Prescrire quelques somnifères par sécurité.

Anecdote(s) de l'adolescence :
« C’est une blague. » Immobile sur le seuil des portes de la salle à manger secondaire, Janeel embrassait d’un regard septique ses deux parents, installés sur deux chaises côte à côte. L’atmosphère était lourde, comme toujours dans la demeure des Fahlen, mais elle était aujourd’hui imprégnée d’un inquiétant sérieux. Ils ne plaisantaient pas.

« Je ne quitterai pas cette maison. » Elle avait dicté ses mots d’une voix sourde, décidée. Ses yeux trop noirs avaient survolé le visage de ses parents pour se poser sur le mur derrière eux. Elle était immobile, stoïque. Janeel Fahlen dans son imperturbable attitude de défi.

- Janeel… commença sa mère d’une voix larmoyante.
- Je n’irai pas.
- Tu as besoin de repos.
- Depuis quand les adolescents ne peuvent-il pas se reposer dans leur chambre ?
- C’est pour ton bien…
- JE N’IRAI PAS DANS CET ENDROIT POURRI ! hurla l’adolescente en traversant la salle à manger en direction de l’entrée de la demeure, d’où on avait accès aux escaliers. Elle avait besoin de s’enfouir sous les draps de son lit.

Elle n’eu toutefois pas le loisir de grimper les escaliers, encore moins de se réfugier dans l’intimité de son lit. Le hall d’entrée était occupé par trois volumineuses valises qu’elle identifia comme étant les siennes. Tout avait été préparé avant même qu’on ne daigne la mettre au courant.

« Vous ne pouvez pas… souffla-t-elle douloureusement en fixant ses effets d’un regard vide, Comment avez-vous pu… » L’ambiance familiale n’avait jamais été chez elle une source de joie et de chaleur. Pourtant, jamais elle ne s’était sentie aussi trahi. La haine emplissait ses yeux et ses paroles à mesure qu’elle prenait conscience de l’importance de leur acte par rapport à elle. Une pure et simple trahison.
Ses parents s’étaient glissés derrière elle et la main de Tobias Fahlen empoigna l’épaule de sa fille au moment où la porte d’entrée s’ouvrait, dévoilant le chauffeur de la famille. Le temps du départ était déjà venu.

- Tout va bien aller, Janeel, confirma son père d’un ton qui essayait de rendre tendre, mais qui demeurait tout bonnement sérieux.
- Je vous déteste. Je hais chaque particule de cette ridicule famille, furent les derniers mots que l’adolescente eu le loisir de prononcer, lentement, froidement, avant d’être entraînée à l’extérieur.

La presse allemande allait se régaler plusieurs mois des quelques jours que Janeel Fahlen –fille unique de Tobias Fahlen- eu à passer dans un centre de désintoxication.

Anecdote(s) à l'ISP :

Bienvenue Miss

Je me suis toujours dit que Shadowcat était perturbée *BAF*

Bienvenue Mademoiselle

Bienvenue, je réserve l'avatar

Welcome

Wolfe > Elle cachait bien son côté obscur

Merci à vous

Bienvenue ! Je vais répéter ce que les autres ont dit mais super choix de vava, Ellen est trop cute

Bienvenue à toi.

Je suis bien contente de voir qu'Ellen fait l'unanimité. Cette fille est adorable

Merci

Ellen Page!! Et Ready to fall!! J'aurais pas une fan de Rise Against devant moi?

Bon peu importe je t'adore déjà!! XD

Bienvenue Bibi!!

Bienvenue

Lauralee > Une connaisseuse apparemment
Je trouvais que certaines paroles de la chansons allaient à ravir à Mlle Fahlen ^^
Et merci


Merci Seth

Mefie toi de lui!!

LOL Oui je suis fan depuis une éternité!! XD Et puis Ellen Page!! elle vient de mon coin de pays!!

Je fais confiance jusqu'à preuve du contraire

Tu viens de la Nouvelle-Écosse ? (Si je ne me trompe pas sur le lieu de naissance d'Ellen ^^)

Nop Lo vient du Nouveau-brunswick (Me aussi d'ailleurs) sa fais partit de la partit atlantique du Canada (avec IPE, Terre-neuve et NE mais tu sais surement déja tout sa et j,ai l'air vraiment idiote a le répéter... moi et mon petit coin de pays... j'en suis trop fier)

Bref je me tait et te souhaite la bienvenue!

(Mais effectivement Ellen vien de la nouvelle-écosse Halifax pour être exact)

Bienvenue à toi
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