• Biographie :
Ascendance sociale :
Les parents de James ne se sont pas rencontrés. Elvira ne se souvient même plus de cette soirée, des personnes qui se trouvaient autour d'elle dans ce bar. Dans les bas quartiers de Londres, ce n'est pas la même chose qu'au coeurs de la ville et la jeune femme s'est rendue compte qu'elle était enceinte lorsqu'elle prit un peu de poids. Inutile de dire que la jeune femme était un peu simplette mais sacrement belle et élégante. Beaucoup trouvaient que c'était dommage qu'elle n'est pas davantage de jugeotte car elle aurait été la femme idéale. Elvira retourna alors vivre chez sa mère qui lui demanda de ne pas reconnaitre l'enfant, un peu trop traditionnelle et conservatrice, elle ne voulait pas que sa fille soit reconnue comme une trainée qui ne se souvient même plus de son compagnon d'une nuit. Elvira ne reconnut pas son enfant et c'est donc Ginny, sa mère, qui reconnut James comme son fils. Le petit bonhomme était vu comme un fardeau pour la vieille femme qui se devait alors d'assumer son éducation ... elle avait fait cela pour sauver sa fille, pour sauver la réputation de son nom et de sa famille non pas parcequ'elle était sympathique et qu'elle ne voulait pas que sa fille assume seule le poids d'un bébé.
C'est pourquoi le jeune garcon se retrouva rapidement dans un orphelinat lorsque sa grand mère quitta ce monde. Il était bien plus heureux dans cet orphelinat que chez lui, et ainsi James se fit alors adopté à l'âge de quatre ans. Il arriva alors chez les Lancaster et il prit leur nom et obtint une education respectable. Collège privée, education stricte mais une famille heureuse venait de l'accueillir. Après tout cela, James ne se souvient que d'eux et les considère comme ses véritables parents.
Anecdote(s) de l'enfance :
A peine eut-il huit ans que James vit apparaitre dans sa vie un petit frère repondant au prénom d'Erik. S'approchant du couffin, James était ravi de pouvoir jouer le role de grand frère et c'est ainsi qu'il se mit à le proteger meme lorsqu'Erik fit ses premiers pas, puis la première fois qu'il roula en vélo sans les roulettes, qu'il fit du roller, qu'il alla à l'école. Bref, à chaque fois, James se trouvait non loin de lui et lui montrait qu'il était là s'il se passait quelque chose. Le meilleur souvenir de son enfance est certainement le Noel ou James avait douze ans et son frère neuf. Leur père était partie se deguiser en pere Noel avant de faire son irruption dans leur maison, Lizzie – sa mère adoptive - faisait semblant d'etre surprise alors que les garcons riaient aux eclats. Ils ne purent s'empechaient de sauter sur les bras de leur père pour lui tirer la barbe, ou donner des coups de poing dans les coussins qui lui servaient de ventre. Les garcons s'amusèrent et c'est ainsi que la famille comprit que les garcons n'avaient plus l'age de croire au Pere Noel et que désormais ils étaient grands. Les photos de ce Noel sont juste magnifiques surtout celle ou ils font tous une grimace et que James porte un pyjama vert fluo que lui avait offert sa grand mère.
Anecdote(s) de l'adolescence :
Lorsqu'il eut l'age d'aller au lycée. James était ravi de voir que ses parents lui laissaient beaucoup d'indépendance. Pas du tout rebel ou alors juste un peu, il se plaisait à se moquer des pom pom girl qui courraient après les basketteurs alors qu'eux étaient un peu trop marginaux. James avait un ami, un frère de coeur qui se nommait Gregory et qui était toujours avec lui. James se souvient encore de la fois ou il fut convoqué lui, ses parents, Gregory et ses parents dans le bureau de la directrice juste parcequ'ils avaient publiés un journal nommé de la revolution dans lequel il y avait des photographies de professeurs, des caricatures, des ragots sur des élèves trop populaires. James se retenait de rire en voyant le sourire caché de sa mère en voyant les dessins. Elle savait que c'était son fils mais trouvait qu'il dessinait plutôt bien. Haussant les épaules face aux remarques acerbes de la directrice, Luka parla de la liberté d'expression tout en demandant à son fils de s'escuser devant la directrice. Il faut dire que pour un ouvrier qui promettait à son fils un avenir fructueux ne voulait pas qu'une directrice trop vieille vienne gener son fils et son adolescence. Quant à Gregory, ses parents étaient moins tolérants surtout lorsque celui-ci eclata de rire. Ils étaient fiers de leur coups surtout parceque grace à cela, ils devinrent plus populaires et que beaucoup voulaient devenir leurs amis ... Des rebels ! James se souvient également de la fois ou il donnait des petits surnoms débiles à son frère cadet qui essayait de draguer une etudiante plus vieille que lui. Il dut biensur subir les foudres de son frère une fois chez eux, mais il se plaisait à repenser au visage deconfit de son frère face à la jeune fille qui lui demanda son age en arquant un sourcil.
Anecdotes à l'ISP :
Des rencontres. Voilà ce que represente l'ISP pour lui. Tout d'abord, il a rencontré Cyrielle qui est désormais sa petite amie depuis pas mal de temps déjà. Les deux jeunes gens passionent pas mal de temps ensemble et James se rend compte au fur et à mesure que les jours passent qu'il est réellement attaché à elle et qu'il apprécie vraiment sa compagnie et leur relation sereine qui lui correspond tout à fait. Seul ombre au tableau, cette Cleo qui represente un peu ce qu'il craint chez les femmes : un caractere fort et surtout cette manière de vous envouter et de vous enivrer avec un simple regard. Il a eut une relation d'une nuit torride avec elle une nuit et il eut du mal à s'en remettre. Trahir sa petite amie, lui taire et croiser le visage de cette jeune étudiante tous les jours : c'était réellement plus que difficile mais bon il lui reste quelques années à passer avec elle et tout se passera pour le mieux.
Arrivera t-il à supporter une vie sentimentale difficile et des cours plus que difficile avec un rythme de travail ... faste.
• Psychologie :
Traits de caractère : James est un jeune homme plutôt franc et entier. Il joue toujours cartes sur table et ne sait pas vraiment mentir. Il est souvent en train de dire qu'il est quelqu'un d'entier mais peu de personne parviennent à mettre quelque chose derrière ce terme plutôt complexe. Entier, quelqu'un d'entier ? En réalité, James est toujours simplement un jeune homme au grand coeur. Lorsqu'il aime quelqu'un, il est capable de donner sa vie pour elle mais lorsqu'il deteste une personne, il est capable du pire. On ne peut pas dire qu'il essaie d'etre plus ou moins doux, qu'il est facilement impressionable ! Non ! Il a des valeurs, des idéaux et personne ne pourrait le faire changer d'avis. Voulant toujours le dernier mot, il est presque insupportable et beaucoup se demandent si un jour, il va trouver plus fort que lui qui le forcera à se taire et à se mettre six pieds sous terre à moins qu'il l'ait déjà. Dans touts les cas, c'est quelqu'und e droit et de juste qui combat les injustices.
Passioné. Il agit à cause de ses sentiments, sur un coup de tête.. Ce n'est pas quelqu'un qui va reflechir pendant des heures à savoir s'il a fait oui ou non le bon choix. Il préfère agir de suite sans trop se poser de questions et après voir s'il a fait le bon choix par rapport aux conséquences. C'est un comportement ma foi plutôt surprenant surtout pour quelqu'un qui se dit reflechi. Impulsif, il suit ses idéaux encore une fois et deteste qu'on s'en prenne aux personnes auxquelles il tient le plus.Timide et surtout gentil comme par deux, James est le genre de personne qui ne sait pas faire souffrir les autres. Il est souvent géné lorsqu'on l'accoste ou lorsqu'on lui fait des propositions parfois allechantes. On pourrait le faire chanter rien qu'avec un regard profond et magnifique. C'est certainement son plus grand défaut. Tout le monde se souvient de sa soirée avec Cleo et qu'avec quelques gouttes d'alcool dans le sang il ne se contrôle plus vraiment ...
Manies : James est souvent avec une cigarette dans les mains juste parce qu'il fume depuis toujours. Il est également toujours en train de passer une main sur sa barbe naissante ce qui lui donne un petit air reveur et intello. Il passe également son temps à remonter ses lourdes lunettes noires sur son nez lorsqu'il est concentré sur quelque chose.