Meredith Fishburg

En voilà une fille bien

N'empêche Meredith elle a qu'un seul ami

( T'as vu Scrubs c'était trop bien ce soir Oui je sais, c'est pas le bon topic )

Ne te fie pas à ce que dit Delia
Elle voudra tirer profit de la situation en jouant les protectrices

Non mais bon Hayden moi si je la vois je la trucide elle avait pas le droit de toucher mon Milo
Néanmoins, on peut trouver des photos où elle n'est pas mauvaise

(va dans le flood )

C'est pas grave, elle au moins elle veut pas me fracasser (enfin Hayden)

voilà le vava vous donne encore envie de l'éclater ? (si on reprend l'expression d'Heather xD)

Delia - Je t'attends dans les coulisses

Meredith - T'as vu un peu comme elle t'appelle la charogne ? Manquerait plus qu'elle dise filet-o-fish

Ca tu ne sais pas si elle va te "fracasser" Ne rejoins pas le côté obscur de la force

Oui c'est beaucoup mieux l'avatar car l'autre faisait pouf de seconde zone qui lave les voitures ou plutôt se frotte

Elle est mieux là, mais rien que ça tête me déclenche des bouffées de haine

Le mieux serait un avatar vide

• Biographie :

Ascendance sociale :

Vendredi soir. 20 h00.
Henry tenait la main de sa si jolie petite amie, la serrant peut être un peu trop. Ce soir le jeune homme allait faire la rencontre des parents de la jeune fille et il n’y avait pas de situation plus stressante. Il avait réfléchi toute la journée à ce qu’il allait dire, surtout rien de stupide et il avait même failli annuler en prétextant une soudaine maladie mystérieuse mais à croire que Carrie l’avait senti venir elle était venue le chercher en personne
Et voilà comment ils se sont retrouvés devant la maison de la demoiselle. Cela faisait environ dix bonnes minutes qu’ils étaient là, hésitant à entrer. Car même si elle n’avait cessé de répéter que tout allait bien passer, elle appréhendait cette rencontre aussi. Ouvrant la porte et entraînant son ami dans la maison, ils se dirigèrent tout deux vers la salle à manger où toute la famille était présente – les parents, le grand frère et la grand mère – c’était comme si il devait passer un entretien. Le jeune homme sentait bien qu’il était observé dans ses moindres faits et gestes et qu’il était jugé pour tout ce qu’il disait.

Les deux jeunes gens se sont rencontrés au Lycée, rien de bien original. Lorsqu’ils racontent cette histoire à leur fille, ils s’amusent à dire qu’il étaient cool et rebelles, ce qui pour Meredith semble inimaginable car aujourd’hui ils sont bien loin de ça, ils sont de nouveaux normaux pour ne pas dire barbants…
Sa mère n’a jamais travaillé, il faut dire qu’elle n’en a jamais eu envie. Après tout c’est tellement plus drôle de rester chez soi affalée dans le canapé à regarder de vieilles séries tv tout en sachant que votre mari s’occupe de ramener l’argent à la maison.
Son père, dont elle à toujours été proche, travaillait qu’homme d’affaire mais ça elle n’en savait pas plus… surtout parce que ça ne l’intéressait pas de l’entendre parler de ce qu’il faisait


Anecdote(s) de l'enfance :

La petite Meredith, 8 ans pensait qu’elle n’irait pas jusqu’à ses neuf ans… Dommage son anniversaire était dans deux semaines. Elle savait que lorsque ses parents seraient de retour, ils allaient la tuer. Voilà que la petite chérie avait été laissée sans surveillance pour la première fois pendant deux heures. Pourtant c’était simple, ils avaient bien précisé qu’elle devait rester sage, ils lui avaient même préparé des coloriages et autres choses… Oui mais quand on seule dans sa maison pour la première fois, le coloriage n’est pas vraiment une chose excitante. C’est ainsi qu’elle s’était aventurée dans la cuisine. Elle avait soif et avait terriblement envie de grenadine… ce qui avait suivi était une véritable catastrophe. La moitié de son verre avait atterri sur le beau tapis blanc tout neuf du salon. Et le moins que l’on puisse dire c’est que du rouge sur du blanc ça se remarque pas mal

Fixant la tâche comme si elle allait disparaître uniquement en par le pouvoir de la pensée, elle n’arrêtait pas de sautiller sur place pour trouver une solution rapidement. Soudain, ce fût l’évidence. De l’eau ! Elle allait tout nettoyer avec un peau d’eau c’était tout simple… Oui mais voilà le problème c’est qu’elle ne s’imaginait pas qu’elle allait empirer les choses en vidant une bouteille entière sur le tapis. Plus elle essayait d’arrange les choses et plus la situation empirait.

Evidemment elle n’avait pas pût cacher ce regrettable incident à ses parents qui n’ont plus jamais laissé Meredith seule jusqu’à ses quinze ans…


Anecdote(s) de l'adolescence :

'Meredith Tu peux descendre une minute ?'

Laissant tomber son stylo, la jeune adolescente sentait que ce n’était pas bon. Pas bon du tout. Avec le temps elle avait appris à savoir si elle allait passer un sale quart d’heure ou non et là, au ton que son père avait employé, il y avait une engueulade dans l’air c’était certain. Poussant un soupir elle descendit lentement les escaliers pour rejoindre le salon, tout en essayant de savoir ce qu’elle avait bien pût faire de mal.
Ses parents étaient assis tout les deux sur l’un des canapés montrant d’un signe à la jeune fille de s’asseoir sur celui d’en face. Là c’était vraiment mauvais. Les mauvaises choses arrivent toujours quand ils lui parlent face à face. C’est une Meredith nerveuse qui prononça ces mots

'C’est pas moi je vous le jure, il faut pas les croire !'

'Mais de quoi est-ce que tu parles ?'

'Et vous, de quoi vous parlez ?' fit-elle en essayant de faire oublier ce qu’elle venait de dire sur ce qu’elle n’avait ‘pas fait’

'Tes notes sont catastrophiques'

'Ce n’est que ça ? Il fallait le dire !' Elle esquissa un large sourire, soulagée. Mais en observant le visage de ses parents, elle compris bien vite que ça n’allait pas se terminer aussi bien qu’elle le pensait

'Tu ne te rends pas compte ? C’est grave. Tu vas dans l’un des meilleures écoles et tu ne penses qu’à traîner avec tes amies. A Partir de maintenant, plus de téléphone, plus de sorties, plus rien. Jusqu’à ce que tes notes soient correctes'

Dur ! Elle qui pensait qu’elle aurait la vie facile, elle se trompait lourdement. C’était pour son bien à ce qu’ils disaient… Mais tout ce qu’elle voyait c’était bonnes notes = Sorties. Inutile de chercher plus loin. Plus tard dans la soirée, voilà que son père était venu lui dire à quel point il la trouvait intelligente et qu’il était dommage qu’elle gâche son potentiel. Cela lui fit un bien fou, même si tous les pères disent ça…


Anecdote(s) à l'ISP :

Allez Marshall ! Hurla la petite blonde. Non elle n’était pas totalement folle, si elle hurlait le nom de son meilleur amie c’était pour la simple et bonne raison que là sous ses yeux se déroulait une des fameuses compétitions de natation. Et bien entendu Meredith n’en avait jamais loupé une… Elle était sans aucun doute sa plus grande fan mais pas de chance aujourd’hui Zachary avait perdu, encore. Légèrement déçue, oui mais pas totalement surprise, après tout il était face au Visconti.

'T’en fait pas, la prochaine fois tu gagneras' fit-elle en affichant un large sourire après avoir retrouvé son ami à la sortie.

'Tu crois ? C’est gentil de croire en moi'

'Non c’est pas ça.'

L’air totalement perdu, Zach se risqua à poser la question

'C’est quoi alors ?'

'Il y a plus vraiment de suspense dans vos compétitions… Ca doit être totalement truqué c’est pas possible, remarque j’ai toujours sût qu’il y avait des trucs comme ça en sport. Enfin ce que je voulais dire c’est que un coup tu gagnes et la fois d’après c’est l’Italien… Je sais pas t’a qu’à perdre deux fois de suite ça ajouterai du piquant !'

La jeune Fishburg se mit à éclater de rire en voyant la tête de son ami. Il avait l’air à la fois choqué et totalement désespéré par les paroles de la blondinette, mais après tout il devait avoir l’habitude maintenant… Bon peut être que plaisanter sur son éventuelle futur défaite n’était pas la chose la plus intelligente à faire, elle le réalisait maintenant. Plus tard, il s’amuserait de tout ça… Peut être demain. Oui demain c’est assez loin.
'Au Fait…' Elle s’interrompit quelques instants, le temps de sortir un téléphone portable de son petit sac 'J’ai retrouvé ton téléphone… Encore .' Bien sûr, elle insista lourdement sur le ‘encore’ comme si il s’agissait là d’une habitude chez lui… En fait c’était le cas. Bien sûr elle avait envisagé de le garder pour elle, tout d’abord parce que c’était un bon téléphone mais aussi parce qu’elle trouvait ça vraiment trop tordant de le voir chercher partout comme un fou



'On pourrait la noyer' Lâcha Meredith en ayant un léger sourire aux lèvres.
Lauren. Celle qu’elle envisageait de noyer s’appelait Lauren Baxter. Mais qu’avait-elle bien pût faire à notre chère Meredith ? C’est bien simple elle s’était approprié ce qui normalement aurait dû revenir à la première année. Disons plutôt celui qui aurait dû lui revenir. Oui encore et toujours le même. La jeune blonde se souvenait parfaitement du jour où elle l’avait croisé dans les couloirs, elle n’avait pût détacher son regard du beau brun, à tel point qu’elle avait percuté un mur, mais ce n’était pas grave, elle était amoureuse alors…

I can hear the bells
My head is spinning
I can hear the bells
My temperature's climbing

Voilà ce même refrain qui la hantait dès qu’elle le voyait ou bien même lorsque quelqu’un prononçait son nom. Elle était persuadée qu’il se serait vraiment intéressé à elle s’il n’y avait pas cette anglaise, aux cheveux parfait, il fallait le reconnaître.
Enfin, il faut croire que la haine que l’on peut éprouver envers une personne n’est pas totalement une mauvaise chose car c’est ainsi qu’elle avait fait la connaissance de Hell. Hell Thewlis. Les deux jeunes filles semblait n’avoir pas grand chose en commun, si ce n’est le fait qu’elles étaient toutes les deux nouvelles mais leur haine commune envers la deuxième année avait rapidement fait surface, de quoi se lier d’amitié !
Et c’est ainsi qu’elles se retrouvent souvent à la bibliothèque ou autre afin d’élaborer les plans les plus farfelus et diaboliques, même si la plupart du temps tout était prétexte à la rigolade

'La noyer ? Non trop facile et pas assez amusant…'

'Tu proposes quoi ?'

'Voilà, on entre dans sa chambre et on lui coupe les cheveux'

'hum... Et sa coloc’ on en fait quoi ?'

'On l’enferme dans un placard'

'Oh oui à deux on y arrivera sûrement… On sera camouflées en noir et on enfilera des cagoules au cas où '

Les deux jeunes filles se mirent à éclater de rire. Bien évidemment elle ne lui ferait rien d’aussi grave, elles voulaient juste s’amuser et lui rendre la vie impossible était plutôt distrayant il fallait l’admettre

J'ai terminé
Trop de mal pour l'ascendance sociale, j'y arriverais jamais

Tant qu'il y a le nombre de lignes

Je valide

Merci